En conduisant ma fille à l’école nous traversions l’avenue dans le passage piétons Jusque là rien de spécial Quand une espèce de chauffard motorisé A voulu se frayer un espace au milieu des piétons Et manquer d’envoyer ma fille à l’hôpital J’ai décoché dans sa portière un super coup de pied Puis nous nous sommes empoignés av

L’académicien français René de Obaldia est mort à 103 ans, à cet âge la vie doit être terne Pourtant des scientifiques américains travaillent sur le prolongement de la vie des cellules, un tournant Une alternative au régime crétois Un passeport pour l'éternité

Je marchais dans la douceur du matin levalloisien Rue Grefhule des moineaux picorent des crottes de chien Devant le Shopi Les corbeaux égorgent ces malheureux volatiles Et finissent par envahir le centre de nos villes C’est le cycle de la vie

A Dijon nous nous sommes rejoints Traversés la ville, son musée, son jardin Eve et sa pomme Eva en somme

Je le dis sans feinte Je suis adepte de La Fontaine Ses fables enseignent aux enfants la langue Et sa vision du monde n’est pas pure fantaisie

Le soleil enfermé derrière l’horizon, Loin de la pollution lumineuse, le ciel fourmille d'étoiles. Briller comme une étoile au firmament J’avoue que J’en formai l’ intention.

Au loin, une cloche appelle les fidèles à la prière ou à l’office du soir C’était en 2013, ailleurs en Europe Le temps passe. Peu à peu, les passions s'éteignent A Poissy un job me porte la poisse On devient pessimiste, on croit que le bonheur ne dure pas Mais qu’est ce qui nous pousse encore ? En 2022, le pass vaccinal remplacera le p

De jeunes bourgeois ayant sans doute trop d’argent Sont victimes des arnaques à la bouilloire sur les cryptomonnaies Une fausse info distillée à quelques influenceurs booste les cours Puis passe en boucle sur les réseaux sociaux Précipitant les naïfs chez les boutiquiers du bitcoin Au bout de quelques jours les arnaqueurs ramassent la mise

Oh ! Que vous me manquez Je me souviens quand nous dînions à Cancale Ingurgitant du poisson par bancs entiers Et je me dis « Dam what a fucking wanka! » A cette époque j’étais complètement branque La vie m’avait rendu malade, krank, J’étais plein de rancoeurs A l’égard des yankees Des personnes de haut rank Et des gros comptes en b

Repères les traces de nos pères Amères les larmes de nos mères Que notre mémoire Opère !