Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Vanessa Dylan (Ecrivain-Parolier)

Vanessa Dylan (Ecrivain-Parolier)

Mon monde ... Bercée par les flots de la mer des Caraïbes, ma passion pour la Littérature, l'Ecriture, les "Mots" prend vie. Transportée par ma gourmandise littéraire, je commence à noircir des feuilles de papier au cours de ma quatorzième année. L'intensité des émotions, stimulée par le désir i

Ses blogs

vanessadylan-ecrivain.over-blog.com

vanessadylan-ecrivain.over-blog.com
Vanessa Dylan (Ecrivain-Parolier) Vanessa Dylan (Ecrivain-Parolier)
Articles : 86
Depuis : 10/04/2013
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Les dernières révélations d'une condamnée ...

Les dernières révélations d'une condamnée ...

Les années laissent le vent balayer mes dernières envies, J'aimerais tant pouvoir dire que quelquechose de moi est encore en vie, Les petites traces s'estompent, les béances se figent, Seul dans ma mémoire indicible, les ravages de la vérité persistent, La solitude m'emporte, un asile inévitable imposé comme sentence, Et toutes ces montagne

Il est parfois rude le sentiment d'exil quand personne ne peut savoir ce que l'on sait, ni ressentir ce que l'on ressent quand les yeux sont clos et les lumières éteintes. (31 Janvier 2014) (Vanessa Dylan)
L'avant "maintenant" ...

L'avant "maintenant" ...

« Avant », Dans tes yeux, la normalité avait sa place, Mais c’était « avant » que la franchise nomme l’évidence. Cet écrit de la différence que tu reçois en serrant les dents, Sans assumer ton envie de détourner le regard, Pour ne pas concevoir, ne pas entrevoir, Les lignes qui s’inscrivent « maintenant », Sur les non-dits compli
J'aimerais que le "mot juste" ...

J'aimerais que le "mot juste" ...

J’aimerais que le « mot juste » m’accorde un rencard, Au détour de chaque naissance d’émotion, Sur le temps d’éclosion d’une sensation, Une entrevue unique de l’inexprimable, Sur les hésitations de mes lignes, Quelquepart au hasard de mes inspirations, Entre un battement de cœur et un soupir de pensée. J’aimerais que le « mot
05 - La peur du souvenir.

05 - La peur du souvenir.

La mémoire fuit par timidité la détermination des mots, Le ressenti hésite par nécessité à pousser la dernière porte, « Celle » qui obsède depuis si longtemps. Il manque des pièces dans la composition. Elle emprisonne peu à peu les feuilles de papier qui s’empilaient aisément avant « l’obstacle » … Petite ligne blanche dans l
Tendresse déchirante d'un aurevoir.

Tendresse déchirante d'un aurevoir.

Ne pleure pas mon petit ange, ne pleure pas … Mes yeux doucement se fermeront, Un peu comme une nuit trop précoce, Mon corps lentement imitera le froid du béton, Reflet d’une image terrible d’absence de vie, Je ne l’ai pas choisi petit ange, tu sais … Quelquepart en a décidé ainsi, Ainsi s’enfuit la vie mon chéri. Maman va s’en a
J'aimerais que "9 mois" m'attendent quelquepart ...

J'aimerais que "9 mois" m'attendent quelquepart ...

J’aimerais que « 9 mois » m’attendent quelque part, Sur les quais de la surprise, Un peu comme si je l’avais toujours rêvé, Un bel éclat de gourmandise, une fleur accrochée à mes cellules, l’été … D’une existence, une sortie inespérée sur l’autoroute des espoirs déçus, Une perspective nouvelle, l’esquisse d’une possib
Le chant de la rancune.

Le chant de la rancune.

Si seulement je pouvais te dire, Combien je te déteste pour les perles de pleurs, Dessinées à l’encre de la peine sur mes cahiers d’écolière, Bien trop silencieuse … Des batailles en sourdine contre la peur, Le vacarme discret des cris d’horreur enfermés dans mes sourires ternis, Par une possibilité d’absence, Epée ancrée avec un
Vol de bonheur avec effraction.

Vol de bonheur avec effraction.

Battements de cœur au ralenti, blessures et doutes, que reste t-il de moi ? Les heures s'écoulent sur l'insomnie, je ne trouve plus le sens, j'ai froid ,,, Certains disent que le bonheur existe vraiment, j'aurais préféré ne pas savoir, Les traces de ta présence dessinent encore mon corps, mais je ne peux plus y croire, L'impossible devenu acc
Ballade Désertique de l'Emprise.

Ballade Désertique de l'Emprise.

Il y avait sur l'autel du tourment, le vent hurlant "désespoir" à perdre haleine, Escarpements encore coupants de bouts de vie détrempés, esclaves des torrents de ta haine, Tu n'arrivais pas à garder la cadence des mensonges d'un passé composé, Et tu m'interdisais d'être "moi" pour mieux te laisser exister, Il reste des morsures de colère