Faire la cour, Un jeu de séduction ? Certaines peuvent être pour D'autres prennent ceci pour une agression . Action parfois innocente Y sourire discrètement peut se faire sans conditions Une insistante peut être blessante, Principalement si la destinataire n'accepte pas ce prétendant grognon ! **poètamateur copyright n 00052404
Philippe Michel
Philippe Michel
vive la retraite...
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Littérature, BD & Poésie
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L'Amour se déclre en rose A ses petits pieds En prose, je lui propose **poètamateur copyright n 00052404
Je l'ai vu, il sourit, c'est mon cœur qui palpite Il sourit, m'a-t-il vue, ma mémoire en faillite Je me réveillerai, transpirant, en émoi Chez lui, furtivement, je le vis une fois Il est beau, il est pur, j'oublie qu'il serait nu D'un geste lent, discret, timide je le fus Serait-ce le présent ou ma pensée défaille J'ai cru a un clin d'œil,
C' est au retour de vacances H umeur joyeuse, j'ai dû déchanter, pas de chance A peine rentrée, je ressentis l'atmosphère pesante N' imposant qu'une alternative rétrogradée ou licenciement T ristement la direction me met au pied du mur A rmée de mon absence, une jalouse d'âge plus mûr G éra d'une façon vicieuse mon poste confortable E t,
La fraicheur matinale souligne les frissons L'hiver s'installe en villes et campagnes, Les fêtes sont proches, disons le en chansons Les sourires des enfants réjouissent les hommes et leurs compagnes. La flamme d'un foyer chaudement alimenté Rougeoie et s'agite comme un être emprisonné Sa douce chaleur irradie et flatte la personne frigorifié
E n ce triste hiver, je pleure Eolienne E O n se prosterne a cette annonce mélo O L a nouvelle m'a laissé assis, sans appel L I mmédiatement un frisson bien ressenti I E tabli devant une triste feuille blanche E N e sachant pas réagir, l'œil sur l'écran N N’écoutant que ma plume larme passion N E t voilà ma petite contribution émotive E
Je suis une goutte, légèrement salée Lentement je coule sur cette peau nacrée Le chagrin se révèle réservoir plein, je ruisselle La tristesse fait ombre et se révèle Le cœur gros secoue la demoiselle Je suis une goutte, légèrement salée Lentement je coule sur cette peau nacrée L'amour a ses revers, le sourire passe aux larmes Une dest
Automnale L'automne est là et on attend ses frais symptômes Par la fenêtre je viens observer, verdure Les arbres restent bien verts, les fleurs nous embaument Mais le soleil brille que veut dame nature ? Toutes automnales en ces rondes Me font penser au tonnerre qui gronde Toute ces haies dont les feuilles fondent Et la verdoyance devient blonde
C ertes, Toulouse est la ville dite rose L a ville merveilleuse pleine de belles chose A vec ses briques, ses monuments U n lieu mythique sans boniment D ésormais, une célébrité la rend immortelle E ntendez, le chanteur à la voix éternelle N ougaro il s'appelle, son prénom Claude O n percevait de loin sa voix chaude U ne petite fille, et ses
D epuis notre tendre enfance E n gentils voisins, ambiance ! M aman nous emmène à la plage A vec tendresse nos parents gagent I ndisciplinés, nous barbottons, partage N ul n-y pensaient alors point de dommages N ul n'y pensaient et pourtant .. O bservant nos gamineries navrantes U nissant nos jeux et fantaisies galantes S ur le sable mouillé, u