Là à deux pas d’ici il y a des souvenirs qui attisent des désirs, là à deux pas d’ici. une tête en délire qui ne cherche qu’à s’enfuir qui ne cherche qu’à mourir, et, qu’on veut contenir. là à deux pas d’ici, des mots à retenir, un puzzle à construire en parlant d’avenir. là à deux pas d’ici, une main à saisir, que
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Humour
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Toute la ville, le monde, te semblent gris et pourquoi, tu crois que la vie est ainsi ? de pastel, repeint toute cette nostalgie, tu verras d’un noir, le rose rejaillit. et dans tes yeux brisés, je vais revoir, le soleil, l’amour aux couleurs de l’espoir qui te donnent envie, de mordre dans la vie et te font jolie, belle rose, toute épanoui
Joli nom, quel joli nom, joli nom, quel joli nom, que celui de pauvre con, pour qui grave sur ces étals, tous ses fantasmes de mâle. joli nom, quel joli nom, pour qui dans toutes ces chansons, ne voit dans toutes les femmes, qu’un objet et bête infâme. mais as-tu donc oublié, que d’un ventre tu es né, qu’une femme t’as mis debout ? to
Je suis là, et las d’attendre, cette vie, aux yeux plus tendres. j’ai peur, horreur. les jours passent, où est ma chance, d’une vie, couleur romance. j’ai peur, j’ai peur. je laboure, cette putain de terre, pour que jaillisse, un nouvel air, pour sortir du silence amer, de cette vie, qui n’est qu’enfer. car je sais bien, que tu es l
Pour ce cœur qui fait battre le mien soleil noir non, jamais, même au delà d'un outre ciel ta douce lumière ne pourra s 'éteindre elle est cet oxygène qui fait mon essentiel qui envahi mon cœur pour mieux le repeindre douce lumière, reste, réchauffe mon cœur remplis cette vie sans jamais trop l'envahir et sois éternellement cette jolie f
Pour assouvir tes plaisirs, de cette chair que tu désires. il y a des yeux qui ont peur, dans tes desseins de malheur. ils te l’on donné le pardon, dans le secret de la confession et à genoux tu les diras, tes quelques ave maria. tu as reçu l’absolution mais as-tu compris la leçon ? toi qui changeras de canton, comme unique punition. aie l
Au bout du quai, dernière folie, dans sa curieuse, drôle de vie, au bout du quai, quand lui, il rit, par son visage, rien n’est trahi. la pluie ruisselle dans son cou, mais il est là, toujours debout. sur la jetée, cherchant le bout, de sa trop longue vie de fou. gestes brisés, sens interdits, et puis l’abîme, enfin l’oubli. c’est les
Des pages déchirées, des jours à effacer, l’agenda de ta vie a de l’encre rougie. parc’que la société a les yeux bien fermés, parce-que tu es belle il faut que tu sois celle. et, s’en va l’adolescence, dans le sang, la violence dans les rires, l’insolence, toute l’aigreur des ces mots et l’odeur de ces peaux souillant, ton cor
Un cahier plein de poussière, où t’écrivis ton monde, naguère, des mots pour une terre entière, sans plus jamais ces sales guerres. des mots à pages entières, pour y rêver d’un univers, ne tournant plus, tout à l’envers, sans revenir, trop en arrière. un cahier plein de poussière, rêve d’ado, sans fil de fer, où tu couchas les
Au bout du quai, dernière folie, dans sa curieuse, drôle de vie, au bout du quai, quand lui, il rit, par son visage, rien n’est trahi. la pluie ruisselle dans son cou, mais il est là, toujours debout. sur la jetée, cherchant le bout, de sa trop longue vie de fou. gestes brisés, sens interdits, et puis l’abîme, enfin l’oubli. c’est les
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