Comme excuse nous cherchons dans notre entourage un syndrome héréditaire d'alcoolisme, mais pour ma part personne de mon côté n'a le coude automatique. peut-être suis-je l'exception ? Nous commençons par un verre de temps en temps pour terminer quelques années plus tard la bouteille à la bouche et en catimini. La bouteille "planquée" dans

Comment est-ce arrivé ? a quel moment de ma vie ais-je commencé? aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours plus ou moins bu. Armée, fête entre amis ou en famille. Boire sans se soucier des on-dits, car l'occasion festive se présente. Aujourd'hui je bois par angoisse de ne pas arriver à être performant dans mon boulot ou simplement pour o

J'ai regardé dernièrement une intervention de Constance Larsen qui pendant 10 années était sous l'influance de l'alcool sur son lieu de travail. Il est très diffcile de faire son "mea culpa" sur son attitude après avoir touché le fond. Je me suis retrouvé dans ses paroles, les mêmes automatismes vis à vis du besoin de boire. Sauf que moi

Vous qui vivez ce besoin ou bien l'un de vos proche, n'hésitez pas à "poster" sur mon blog. Courage !

Mensonge et excuses sont le quotidien d'un alcoolo-dépendant. Non pas par jeu, mais par peur et par honte. Je n'assume pas du tout le fait que j'ai besoin de ma dose quotidienne de liquide. En fait ce n'est pas le liquide, mais la sensation qu’il procure. Sensation d'être sûr de soi, d'être l'homme de la situation, invincible jusqu'au moment