Deezer : ​http://www.deezer.com/album/9180929 rollingman.org www.rollingman.org facebook : www.facebook.com/rollingmanmusic une voix papier de verre à la arno virant sur un timbre gainsbourien, sans fumer de clopes ni boire de whisky. la poésie de rollingman revendique une singularité et incite avant tout à mordre la vie à pleine dent, à se

Bonjour, a rennes, la mobilité est en danger ! le meilleur moyen de faire vivre ce texte c'est en partageant et en signant la pétition cliquez ici ! & ecoutez sur les plateformes la collaboration avec plly ! ou encore de voir toutes les versions de ce texte sur youtube ! agitez les bras et criez au loup perdus la tête en bas ils sont devenus fou

Filmé par : la feufeu au vieux port de saint quay portrieux le : 18/11/2023 texte & interprétation : gaëtan deschamps contenue multimédia https://odesli.co/cmd4hfqnpt3h7 je suis l'homme du bout des pointes fasciné par le large celui qui rêve avec ses craintes de rester bloqué dans la marge mes pupilles sont

Tout petit déjà, gaëtan baigne dans l’univers des mots et de la musique. comme beaucoup de gamins, ses parents écoutent en boucle les trois monstres sacrés de la chanson française : brel, ferré, brassens, pour ne pas les nommer. plus tard viendra l’admiration pour les chanteurs écorchés, provocateurs et subversifs. (miossec, gainsbourg

Gaëtan deschamps · gaëtan deschamps - plly déconstruire déconstruire libérez les transports les transports de nos âmes la faune et puis la flore et le cris des chamans on a besoin d’instincts c’est une nécessité de coudre nos chagrins en étoffe de beautés de se remplir de bières avant d’y être mis de s’envoyer en l’air dans l

Performance poétique de la compagnie fil en bulle le livret du spectacle écrit par céline malestroit & gaëtan deschamps disponible à 5€ conception et réalisation visuelle : céline salin ph...

La bagnole c’était un vrai capharnaüm sûr, on avait jamais vu ça il paraît qu’on touchait l’ summum du véritable n’importe quoi les lettres de recouvrement se délectaient de magazines ça ressemblait à un roman parlant d’épic’ries clandestines le temps, le temps se consumait dans les méandres d’une gitane le levier d’vites