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Sylvie Legeindre

Sylvie Legeindre

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Sylvie Legeindre Sylvie Legeindre
Articles : 9
Depuis : 23/02/2013
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Frimas

Frimas

Etang glacé au Mont de Blond - Neiges imaginaires - Tout début de printemps ...Chaque grain de sable, Chaque pierre sur le sol, Chaque rocher et chaque colline, Chaque fontaine et chaque ruisselet, Chaque brin d'herbe et chaque arbre, Montagne côteau, terre et mer, Nuage, météore et étoile, Sont des hommes vus de loin.
Bienvenue sur mon blog d'aquarelles

Bienvenue sur mon blog d'aquarelles

Du côté de saint Emilion - Promenade bordelaise - Zone urbaine - Petit étang sauvage - Etang en Brenne - Bord de Vienne à Limoges - Saint Cirq la Popie Qui n'espère pas, n'atteindra pas l'inespéré qui est introuvable et inaccessible
Portraits de chats

Portraits de chats

Laina et Zinou et un chat blanc rencontré à Souss Elle jouait avec sa chatte, Et c'était merveille de voir La main blanche et la blanche patte S'ébattre dans l'ombre du soir.
Rivières creusoises

Rivières creusoises

D'un gradin d'or, - parmi les cordons de soie, les gazes grises, les velours verts et les disques de cristal qui noircissent comme du bronze au soleil, - je vois la digitale s'ouvrir sur un tapis de filigranes d'argent, d'yeux et de chevelures.
Souvenirs de mon voyage en Chine

Souvenirs de mon voyage en Chine

Jardin de la Mosquée à Shangaï - Aéroport - Le vieux Shangaï - Le Shangaï jeune - Enfant - Cuisine Hier et aujourd'hui Toute la forêt attend que la statue abaisse son bras levé. Ce sera pour aujourd'hui. Hier on avait pensé que ce serait peut-être pour hier. Aujourd'hui on en est sûr, même les racines le savent. Ce sera pour aujoud'hui
Impressions abstraites

Impressions abstraites

Métropolitain - Cité rendez-vous - Ruche ville - L'apparition - Paysage rêve 1 - Paysage rêve 2 LE POIDS DES MURS FERME TOUTES LES PORTES

Visages

Visages

Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx, L'angoisse, ce minuit, soutient, lampadophore, Maints rêves vespérals brulés par le phénix Que ne recueil pas de cinéraire amphore
OLERON, c'est toi que j'aime

OLERON, c'est toi que j'aime

carrelet, promenade dans les polders, le port de la Cotinière, le chenal de Marenne, les bassins des fines de claires, Oiseau jamais intercepté Ton étoile m'est douce au coeur Ma route tire sur sa raie L'air s'en détourne et l'homme y meurt