« A sympathy is what we need, my friend cause there’s not enough love to go round ». Pas assez de bienveillance pour continuer. Cette chanson du groupe Rare Birds sortie en 1969 colle à souhait à une époque qui semble prendre plaisir à s’enfoncer dans les ténèbres sous le poids d’une haine collective débridée, rendant toute tentativ
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04/03/2018
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Politique
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Le ciel sera désormais mieux informé et nous encore un plus mal. Dieu que vous n'aimiez pas cette époque tout en numérique, en réseaux sociaux déversant leur haine et tweets aussi bêtes que désespérant. Vous ce que vous aimiez c'était les journaux en papier, les gens à rencontrer, les récits à écouter, la gitane au bec, autour d'un ve
La nostalgie camarade, la nostalgie est encore présente. Peut-être plus qu’à l’habitude. Elle revient avec une force décuplée. La faute, sans doute, à trop de COVID aux variants inconnus, trop de visages masqués, trop d’hôpitaux débordés, trop de soignants éreintés. Trop d’antivax totalement déboussolés, aussi. Trop de violenc
Il règne comme une odeur d'essence dirait Orelsan. Un sentiment qu'il suffirait de pas grand-chose pour que le feu prenne et que l'incendie s'embrase. Une envie nihiliste de gratter des allumettes tout en dansant sur des volcans en irruption. Un oeil rivé sur les chaines d'information, le doigt bloqué sur les réseaux sociaux. Qui sème la peur
« A la fin du jour les dictateurs perdent toujours » lâche d’une voix lasse et douce l’amiral Alain Godefy sur un plateau de télévision. Peut-être. Peut-être s’agit-il d’une loi intangible de l’Histoire mais Dieu que la fin du soir parait loin. Le temps semble s’être figé dans une apocalypse rougeoyante où se mêlent le feu, l
Le politiquement correct est mort. Définitivement. Pour le meilleur et pour le pire. Comme une illustration Cnews recevait un dimanche soir, pour une discussion à bâtons rompus, l’écrivain Renaud Camus. Un charmant vieux monsieur, en apparence, à la barbe blanche et l’œil pétillant. Un rien dandy dans façon de s’habiller et dans sa ma
Et lorsque les monstres sacrés auront disparu serons-vous vraiment plus heureux? Aurons-nous gagné en humanité? J'aime Gérard Depardieu depuis l'âge de 14 ans. J'aimais tout en lui : ses outrances, sa générosité, sa force et même ses dérapages m'amusaient. Je l'aime depuis que je l'ai vu dans le film "Les Valseuses" aux côtés de Miou-Mi
Si la guerre civile est une discussion qui tourne mal, comme l’écrivait Jacques Julliard, on doit s’en rapprocher tant les débats n’en finissent plus de déraper sans qu’aucune voix ne semble en mesure de s’élever et de les ramener sur de meilleurs rails. « Vous me faites honte » avait lancé Robert Badinter à la face de ceux qui av
Cher Pascal Praud Je vous adresse cette lettre, écrite sûrement un soir de lassitude. Je voulais vous parler de journalisme, métier que j'ai exercé pendant trente ans à RTL avec un incroyable bonheur .Je crois qu'il y a urgence. Il faut revenir aux faits, revenir aux mots, ne retenir que l'essentiel. Il y a vraiment urgence. De quoi parlons no
Juste la fin d’un monde Ainsi la mort peut prendre d’autres visages. On l’avait presque oublié. Tellement obnubilé par une pandémie qui n’en finit plus de se réinventer et par les déclarations de scientifiques qui se régalent jusqu’au malaise à l’idée d’annoncer une catastrophe programmée. On avait fini par se persuader que l