Amandine Dhée enfile les gants pour un manifeste subtil, vif et réjouissant. « A mains nues » fait un doigt d’honneur élégant aux dogmes stériles, aux diktats éculés et aux héritages séculaires qui voudraient réduire la femme à la silhouette callipyge et glacée d’une mauvaise publicité de parfum. Vous vous souvenez de « Femme de
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Littérature, BD & Poésie
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Chant de la lectrice « De pierre et d’os », minéral, vital, glacial, c'est le dernier souffle, le râle, primaire, qui sourd des entrailles, le premier cri, la gorge déployée, la langue qui claque sur le palais, l’haleine givrée diffractée dans la nuit polaire. « De pierre et d’os », c'est l’onde animale, jaillie du fond des âges,
Rock’N’Roll Attitude… Il aura fallu que je lise « Par les routes » de Sylvain Prudhomme pour trouver la voix… Parce qu’il s’agit ici aussi de chemins, de routes, de voyages, intérieurs ou bitumés…Peu importe. De ceux que les hommes empruntent…et qu’ils quittent. De ces routes qui mènent toujours à Rome, ou nulle part. De vil
« Il y a une vérité qui limite l’homme une vérité qui l’empêche d’aller plus loin Le monde change le monde sait qu’il change Lourde est la tristesse du jour les vieux ont l’apparence du destin les jeunes prennent leur apparence pour le destin c’est la vérité mais ce n’est pas toute la vérité » […] Gregory Corso J’aurais
[…] « Aimer à perdre la raison Aimer à n'en savoir que dire A n'avoir que toi d'horizon » […]1 Elle l’aime. Elle le crie, elle l’écrit. Elle n’en peut plus de l’aimer. Elle en balafre les pages. Rageusement. Scarification rituelle, M. Aime. Ouvre les vannes. Spasmes. Stroboscope. Crises de nerfs. Déraison. Folie. Le cœur a ses ra
« Que le flot quotidien laisse son dépôt sur ces pages, comme il laisse du sable et des coquillages sur le rivage. Autant de terra firma en plus. Ce pourrait être le calendrier des marées et des crues de l'âme, et sur ses feuilles comme sur une plage, les vagues pourront déposer des perles et des algues.» Henry David Thoreau Les loosers en
Wouldn't it be nice if we were older Then we wouldn't have to wait so long ? And wouldn't it be nice to live together In the kind of world where we belong ? God only knows (Dieu seul le sait)…mais Gilles Marchand l’écrit ! S’il n’y a avait qu’un geste-barrière à adopter, s’il ne fallait cocher qu’une seule case, je suis prête à p
Vous avez déjà tapé « François Feldman » dans la barre de recherche de Google ? Moi, oui. Ca fait partie des attitudes étranges que le confinement ne suffit pas à expliquer, même si, il faut bien l’avouer, en ce moment, des trucs étranges…enfin, bon, je ne vais pas en rajouter à l’heure où notre Edouard national vient de confirmer
[…]« Premier roman sur le peuple qui ne mente pas et qui ait l’odeur du peuple » […] Emile Zola à propos de « L’assommoir » Ca raconte Abad… Ca raconte la crue de l’adolescence, la sève impossible à contenir, la salive et les larmes. Ca raconte les humeurs. Celles que la puberté chiffonne dans un Sopalin, que la pudeur dissimule
C’était le 10 juin 2018, c’était « Livr’à Vannes », il faisait beau par intermittence et dans le parc du château s’élevait le barnum du salon où l’on se confinait avec plaisir…Où il n’était pas question de distanciation, sauf peut-être pour éviter la file d’attente qui s’étendait dans les allées pour la dédicace d