En balade dans le vieux centre de Clermont Ferrand, je rencontre par hasard un jeune homme en train de tracer une étrange calligraphie avec une bouteille d'eau ! Comme il me l'explique, une fois l'eau évaporée, le dessin disparaîtra... Modeste poète de l'évanescence ! Georges Vacher Lettreur : gregoryvacher@outlook.fr

11 novembre 2018 Poèmes : Femen : On censure les seins des Femen pas les fesses des Présidents pas la pornographie qui rapporte qui soutient les campagnes électorales femmes aux seins sans défense ceinturées jetées à terre femmes aux seins tagués de messages de paix femmes aux seins nus poèmes vivants levez-vous levons nous C.Robillard qui

A ceux qui pensent que la vie ce n'est pas que payer des impôts s'entasser dans des trains ou des bus obéir à des robots mais que c'est aussi chanter danser vivre heureux comme des humains sous la galaxie j'adresse mes meilleurs vœux pour 2018

Prendre le maquis de la poésie Prendre le maquis de la poésie. Quand on se sent mal dans le monde, mal dans l'univers des pollutions, des massacres, des occupations (dans le sens de pays occupé) abusives de l'esprit et du corps, la poésie est une forêt où on peut s'embusquer, un champ libre où on peut prendre une distance par rapport au lang

En 1995, étant prof.de banlieue, j'ai fait une dépression..Depuis la situation ne s'est pas améliorée et pousse même des salariés à se détruire ... Ne serait-il pas indispensable de faire faire le travail pénible par des robots? Ne faudrait-il pas envisager le travail autrement que comme une souffrance nécessaire à la survie ? Voici deux

Le poète Saleh Diab, né prés d'Alep, est l'auteur de la traduction de la Poésie syrienne contemporaine en bilingue au Castor Astral....Beau livre dont les poèmes souvent douloureux évoquent un destin tragique fait de guerres et d'exils, mais tempéré par une inspiration soufie manifeste .... Voici un poème de Saleh Diab extrait de cette ant

11 novembre : Visages en enfilade des grands de ce monde : ils parlent de paix et préparent la guerre Sur le tombeaux des morts ils brossent leur effigie érigent leur statue Chantal Robillard-Puvinel 11 novembre : Poème : Tartuffes : Vous dites aux Femen "Cachez ce sein Que je ne saurais voir" et vous étalez votre vie sexuelle salace sur tous l