Ton regard aussi glacé soit-ilm'a guidé au long de mon exil,j'ai quitté le commun, le connupour toi le cher, le bel inconnu !chaque nuit je suivais tes traces,chaque jour m'amenait une impasseet je me demandais :"qui es tu?".je ne t'avais jamais qu'aperçu.à quoi bon poursuivre ton image,elle était floue et moi j'étais sage.elle l'était mêm
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Poèmes et vers éparses, par une main égarée...
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Puisque la haine fait des émulesalors je vis en funambule ,et sur le dos de ma libelluleje ne crains pas votre crépuscule. elle volera loin des fracasvers un nouveau panoramaou quelqu'un m'attendrades sourires plein les bras .
Ma bouche ne peut apprécier de ne pouvoir te goûter, mon nez se sent las s'il ne te respire pas. mon ventre, de toi avide n'est plus qu'une antre languide. mon sein pleure ta paume homme sweet homme ..
Aah douces relations... décadentes,libres courants d'élans réelsoù les amours se mêlent,sans normes oppressantes . aaah douce ivresse... entêtante,nourrie à l'hydromeldes vos courbes sensuellesaux moiteurs envoûtantes . aaaah douce vie... en dilettante,aux notes émotionnelles,des amours torrentielsaux pulsions luxuriantes.
Elle a une bouche cannibaleune qui dévore sans faire de malet qui vous fait crier "encore!"jusqu'à ne plus avoir de corps. elle a les cils tarentuleun de ces regards qui bousculeà vous faire courir sur un filarachnéen à l'air fragile. elle a les tétons scandaleuxdressés, tendus, aventureuxqui pourraient vous faire étoufferde les avoir bien
Matrice des origines,à l'aspect soyeuxd'une chatte féline,aux reflux laiteuxd'une douce cyprine,fais moi capricieux!je veux que ta saveurm'emplisse les sens,que prêche en ta demeuresainte décadence!éclairant le pécheur,encore en errance.je te veux accueillante,âme charitableaux lèvres frémissantescomme au ventre arable.que ta chaire, assai
L'humanité pour geôlièresans défense contre l'enferd'un coeur délétèredans notre armure de chaire.passant de chère en chère ,ne laissant trace derrièrequ'une mémoire éphémère.
Ici bas se contorsionnepour éviter la corrosioncelui que toujours éperonnentles meurtrissures et les passions. sa mécanique, goute la rouille,humide, de larmes échappées,à l'homme que l'on dépouilled'espoir encore informulés. et l'on entend ses dents qui grincentpour ne pas hurler au ciel noirque tout en cette nuit évincele goût de vivre
Puisque la vie est fourbe,quand arrive cet âgeoù l'homme se courbetout en devenant sage, sans que l'envie ne cessele corps à corps se rend,coupable de faiblesse,ployant docilement. la mort, elle, rend à la vie la raideur qu'elle n'a plus, retend les panses flétriesde multiples intrus. elle se fait l'avant-garde,et elle donne absolueà la vie c
Le cul sur un bancsentir nos fêlurescomme deux grands enfantsderrière leurs armures. faire tomber les masquessans nous dévêtiret conter nos frasquessans avoir à mentir . divulguer nos failles,nos blessures de vie,faire tomber nos muraillesenjamber les débris.
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