Cavalière et sensible à l'art équestre et bien sûr à l'animal cheval...j'ai été très déçue, et les gens autour de moi pareillement...Un sentiment de mal-être, d'ennui (que de longueurs) aucune logique dans la succession de tableaux..... Pas d'émotion, des scènes décousues, des chevaux en liberté qui ne font rien d'autre que de se chi
Céline H.
Céline H.
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11/11/2017
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Littérature, BD & Poésie
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"Elle", c'était son nom d'artiste.Une séductrice qui enflammait aisément tous les cœurs en un battement de cils, et un tour de hanche. Ses rondeurs et sa voix suave, s'inscrivaient comme des promesses d'amour;quand tous reprenaient à l'unisson ses refrains, comme hypnotisés et pris de bouffées délirantes. Après le spectacle, "Elle" se dém
Elle, c'est une phrase, mais pas n'importe quelle phrase! NI à n'importe quelle phase Elle est toute en pointes et emphase Se rebelle souvent et s'emporte Et dans son journal on lui montre souvent la porte, Elle sait bien qu'elle n'est pas dans l'air du temps Qu'elle dérange avec ses vérités d'antan Qu'elle aimerait être plus richement vêtue
Sur sa joue, une larme noire traçait son sillon, Des sanglots secouaient ses épaules , Un chagrin insondable, lourd et épais comme un mauvais breuvage, Un poison qui s'insinuait et suintait par chaque pore, chaque centimètre de peau et d'entrailles Quand est-ce que ça s'arrêterait ? Des années de souffrance sans raison immédiate et logique,
Il y a des matins chagrins Où l'on met le pied dans le pipi du chien Où le café se renverse sournoisement sur le corsage Où l'on aimerait stopper les dommages Des jours Où le soleil brille Où les mésanges sourient Où les gens sautillent Pour fêter la vie Des soirs Où la mémoire perd le Nord Déboussolée par le chagrin Qui tel un infatig
12. "- Hé, ho, réveille-toi !" -Quoi ? - Il est 19h tu fais des heures sup ou tu espères une promotion espèce de fayot ?! On va se boire une bière chez Léonie, tu viens ? Heureusement que le boss était en réunion cet après-midi, sinon t'étais convoqué direct ! - Pfiou ! Si tu savais, je dors mal en ce moment, je sais pas pourquoi, je pre
A Toi Johnny,Le pilier de nos tristes vies,Ton magnétisme, tes yeux célestes, ta gueule de hors la loi,Nous faisaient tous nous pâmer devant toi, Tes nuits sans sommeil et sans issues, pour conjurer tes démonsLes pieds pourtant bien sur Terre, tel un géant.Des défis et des stades chaque jour plus grandsTa vie personnelle, entre ténèbres et
Texte présenté au concours Webstory.ch 2017 http://webstory.ch/Lire/Histoire/1120-lexil http://webstory.ch/Lire/Histoire/1055-concours-decriture-2017-entendu-au-marche/#5 L’EXIL © Préface Serai-je partie si j’avais su que les nuages seraient aussi gris que le cœur des gens, que les bars étaient en fait des lieux pour vieux libidineux dév
Après le festin Par un câlin matin Seule devant la cheminée Je me prends à rêver... La neige d'étoiles scintille, La mésange bleue sautille... Qui viendra me visiter ? A tout prendre, j'espère que ce sera la sérénité! Ou la chaleureuse félicité ? Mais ce soir, ce seront les chandelles, Qui seront les gardiennes fidèles, De mes secrets
J'admire ton éloquence, toi le petit poète des bois qui focalise toute l'attention d'oreilles attentives. Tel le papillon, tu virevoltes à loisir en sifflotant, et en dansant sous les flocons. Au sol, c'est le repère du renardeau, qui de sa longue queue touffue, se fait un écrin, pour passer l'hiver au chaud dans son souterrain. La nuit tombe,