(illustration : nostalgie d’enfance reconstituée et actualisée avec l’aide de l’ia) on ne peut pas se fier à ce que l’on voit de ses yeux vu… le regard change, il suit celui de son époque… avec souvent un brin de nostalgie. gamin, je suis monté quelquefois sur le dos d’un cheval ardennais de mon grand-père, j’avais les

(image générée par l’ia trouvée sur le net) on nous cache tout, on ne nous dit rien ou alors, ce ne sont que des âneries… nous sommes tous plus ou moins complotistes, mais il y a de quoi ! le silence officiel sur les perspectives d’avenir devient assourdissant quand les dirigeants cessent de raconter des inepties ahurissantes comme

(illustration : reconstitution d’un souvenir d’enfance avec l’aide de l’ia) étant gamin, il m’est arrivé à plusieurs reprises de quitter en douce la maison dès l’aube pour approcher des biches à quelques mètres. dans la brume du petit matin, c’était une apparition magique, une intimité partagée prodigieuse, un émerveil

(illustration : spectatrice générée avec l’aide de l’ia) ce n’est pas que je veuille me faire mousser et jouer au savant, mais l’ontophanie (- qui désigne la révélation de la réalité d’un être ou d’une chose dans notre esprit) est avant tout un très joli mot. par contre, quand elle devient essentiellement numérique, ell

(dessin de petit vieux qui circule sur facebook et dont j'ignore l'auteur...) le révisionnisme est de retour, le nationalisme aussi et dans ce cas, le totalitarisme n’est jamais loin… tous les états totalitaires ont manipulé l’histoire : les nazis ont bricolé une race aryenne à la sauce nordique, les talibans se sont empressés de d

(illustration du propos dessinée par le bébé robot) notre épique époque se numérise à une vitesse déstabilisante jusque dans notre intimité : au bout de trois ou quatre ans, nos sextoys connectés et tous les autres appareils sont obsolètes et les fabricants se frottent les mains. fuyons la proximité et les postillons : avec skype o

(illustration concoctée avec l’aide de l’ia) tout n’est pas faux dans la bible : le monde qui s’offre à nous devrait être une fête permanente, un paradis sur terre… eh bien c’est raté. bien sûr, les oiseaux chantent et les fleurs sont jolies, mais les drames succèdent aux malheurs et en plus, de nos jours, notre regard est c

(illustration : malgré mon insistance, l’ia a refusé au type en costard de scier sur sa droite…) dans nos contrées, il est beaucoup plus douillet et confortable de vivre à notre époque qu’à celles qui l’ont précédée. à part les sdf sur leurs trottoirs, même les plus humbles parmi nous connaissent le luxe des pachas en comp

(la photo de fiançailles a été prise par l'ia) tout comme bourvil, je vis très bien sans gloire ni richesse, par contre, je ne pourrais vivre sans tendresse (- non, non, non, non, je ne le pourrais pas… insiste sa chanson). eh bien de nos jours, on ne peut plus vivre sans nos machines et une jeune femme vient de se fiancer à une intelli

"- papa, je n’ai rien demandé, mais pourquoi je suis né ? comment je suis arrivé sur terre et puis pourquoi je n’ai pas de petit frère ou de petite sœur ?"… quand greg ou kenzo, votre gamin de dix douze ans qui a déjà vu des dizaines de films de q vous demande des précisions, ne vous laissez pas démonter, rendez-lui la monnaie de sa