Exactement ce qu'il nous faut pour cette période assez angoissante sur pas mal de points. il y a longtemps que je ne m'étais autant amusée au cinéma, que devant cette farce sf/écolo/gore, complètement délirante, qui nous mène joyeusement en bateau, nous roule dans la farine, et se moque au passage d'un bon nombre de travers de notre temps.

Un film intelligent et subtil que j'ai vu avec beaucoup de plaisir! ca se passe dans les années 1910, dans un milieu de la bonne bourgeoisie provinciale; monsieur, andré, est notaire, il a une belle maison, deux domestiques, dont l'une, céleste ( galatea bellugi ) est jeune et jolie. monsieur et madame, victoire, forment un couple apparemment ha

Ainsi, pekka halonen va défendre cette nature ancestrale et magnifique au moment où le pays s'ouvre à l'industrialisation. il est le gardien de arbres et des forêts, des lacs, des glaces qui fondent doucement au printemps, se libérant en eau courante... et quant à la neige, il ne cesse de la peindre, de la peindre de mille façons, jusqu'à a

En1900, lors de l'exposition universelle à paris, la finlande a, pour la première fois, son propre pavillon en tant que nation autonome, alors que nicolas ii vient de promulguer un décret déniant aux finlandais une partie de leur liberté. le pavillon prend alors des allures de manifeste pour l'indépendance de la finlande. albert edelfelt est

En pénétrant au petit palais dans l'exposition jean-baptiste greuze (1725 /1805), on se dit: bof, ça ne va pas être passionnant. on ne se trompe pas complètement. on peut trouver bien lassante cette succession de portraits d'enfants, tous plus jolis les uns que les autres, joues roses, joues rondes, il y a ses filles bien sûr, et les enfants

L'autre côté de jean-baptiste greuze , moins connu sans doute, c'est ce côté moralisateur: il peint la société de son temps comme elle est ou devrait être, et c'est en cela que finalement, le témoin psychologique et sociologique de l'époque nous intéresse, même si c'est très moche. comme on peut le voir en haut à droite, le retour de n

Après avoir quitté paris, pekka halonen désire vivre à l'écart de l'agitation urbaine, comme on le comprend! c'est à une trentaine de kilomètres d'helsinki, aux bords donc du lac tuusula, qu'il construit cette maison où il vivra heureux avec sa femme et leurs huit enfants, cultivant son potager... va s'implanter alors autour du lac toute un

Je suis fort en colère. dans cette europe (et en france en particulier...) qui grouille de lois, d'interdictions et de règles plus inutiles les unes que les autres, qui protège l'opéra? si un petit rigolo vient mettre des moustaches à la joconde, il sera poursuivi, condamné et c'est bien normal. mais alors, pourquoi un autre petit rigolo aura

Rien à dire sur la réalisation de ce film. on suit d'un bout à l'autre avec passion le déroulement de cette enquête menée par l'igpn, et le commandant stéphanie, très bien incarnée par léa drucker (mère divorcée d'un petit garçon), parfaite comme d'habitude, qui se veut juste mais humaine, ne cherche pas uniquement à condamner mais à

Nous poursuivons dans la découverte de cette peinture nordique, si négligée jusqu'à présent -trop à l'écart des modes sans doute- avec celle de pekka halonen (1865-1933) né en savonie du nord et issu du monde paysan, halonen n'aura de cesse de peindre cette terre... il s'installera à halosenniemi, le long du lac de tuusula, qu'il représen