Anthony, Je t'en supplie, Ne fait plus la guerre. Anthony, Si tu survis, On ira boire une biére. Anthony, Nous tes amis, On ne comprend guére. Qu'est-ce qu'il t'as bien pris, A-tu pensé à tes fréres ? Pense-tu les satisfaires ? Anthony, Ta pauvre vie, Vaut plus qu'une balle en fer. Dans se ténébreu enfer, Si tu as la fleur au canon, Tu vaux

Les femmes, on ne les fait entrée dans l'histoire que si elles sont dénuder...

Maintenant quand je l'embrasse, Je ne vois qu'une fille molle et grasse; Qui n'essaye plus de s'échapper. Éteinte la flamme dans ses yeux, Convaincus que je suis heureux, Elle ce laisse faire sans broncher. Elle s'est poser avec moi, Persuader que je ne voulais que ça, Et elle semble s'en contenter. Y a t-il vraiment de l'amour ? Ou bien s'est t

J'aimerais tant être avec elle, Chaque jours et chaque nuits; Car pour moi elle est le sel, Qui donne le gout à la vie. J'aimerais chaque matins Me réveiller auprès d'elle, La tête sur le coussin, D'un palace ou d'un hôtel. Quand elle fait une crise de jalousie, Lui juré que je suis fidèle, Que je lui offrirais ma vie Parce que je ne vois q

J'ai écrit mes devoirs Sur un bout de papier, C'était a prévoir, Maintenant je l'ai paumer. Je suis dans la mouise Pas moyen de me rappeler Ou je l'ai laisser trainer. Que veux tu que je te disent ? Je suis un boulet...

Beaucoup de gens pensent que la vie est belle, Quand on fait le métier de top model, Mais en vérité je vous l'assure On est pas mieux dans ses chaussures. Défiler en talons aiguilles, en escarpins Ou en maillot de bain sur la scène En talons, en tongue ou en bottines Les hommes oublient qu'on a un coeur sous notre poitrine Qu'on peut être tri

Dans mon pay, Sa vas de soi, C'est un pourrie Qui fait sa loi. Sans soucis, Se donne le droit; Ce qu'il a pris, Ne le rend pas. Il décide tout Et on renonce, Certain le loue Mais sans réponse, On a pas le choix, Sur ses genoux, Il était la Bien avant nous. Ils nous enfumes A la télé, Et on présume Être informé, Ils nous bouscules A leur fa

La loi qui est écrit, Se met du côté du plus fort. Contre un peuple à l'agonie, A l'article de la mort. Toujours organisés, par les mêmes bandits, Pillants et ravageants leur propre pays. Car la loi encore une fois, Asservie sans éffort, Ceux qui lui octroient, Un avis sur leur sort. Aussi pour protéger, Comme une profession de foi, La sacr

D'nos jour, on invente rien. Tout nous est macher, recracher, Plus rien ne sort de nos mains, Sinon une immonde purée. Il semble commode, D'annoncer qui nous inspires, En se mettant à la mode, De ceux qui ont fait empire. Oui, c'est affligeant, Mais pourquoi le taire ? J'adore prévert ! J'admire Vian; Et celui qui me forge, C'est le grand George