Très beau passage du Seigneur des Anneaux sélectionné en préparant mon cours sur l'aventure. « -Oui, c’est vrai, dit Sam. Et nous ne serions aucunement ici, si on en avait su plus long avant de partir. Mais je pense qu’il en va souvent ainsi. Les vaillantes choses dans les vieilles histoires et les vieilles chansons, Monsieur Frodon : les
Flo rie
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23/08/2016
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Littérature, BD & Poésie
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Il y a les lumières de Noël et la pureté de la neige qui continuent de peupler mon imaginaire, il y a la chaleur d'un feu de cheminée, il y a la nature vivante qui me murmure un mystère qui n'a jamais cessé de m'attirer à lui, il y a l'évidence d'un regard qui sait toucher mon cœur, il y a la parure somptueuse de l'enfance qui revêt les c
Lumière. Je souriais. Je riais. Je replongeais encore un instant dans la lumière de ce matin d’été. Tout était serein, une brise légère caressait ma peau nue. Des nuées d’or nimbaient la campagne. Je savais que cette journée était une révérence, mais quelle beauté ! J’avançais en silence dans le jardin fleuri. J’avais renoncé
Alfred de Musset, Confession d'un enfant du siècle. "Vivre, oui ! sentir fortement, profondément, qu'on existe, qu'on est homme, créé par Dieu, voilà le premier, le plus grand bienfait de l'amour. Il n'en faut pas douter, l'amour est un mystère inexprimable. De quelques chaînes, de quelques misères, et je dirai même de quelques dégoûts q
On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de l’humanité ; et que l’humanité foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poé
Tisser des lettres d'or Je veux écrire, écrire encore, je ne m'arrêterai que lorsque toute la substance de mon être aura su former un arc en ciel intelligible pour le monde. Je dois écrire, parce que je suis, je dois écrire parce que j'existe, je dois écrire parce que ma voix est unique et qu'un jour elle va s'éteindre. Je guette l'horizon,