Une des techniques qui fonctionne pour moi et pour beaucoup de personne en rétablissement c’est de dire qu’on arrête de consommer pour seulement une période de 24 heures. Au lieu de dire : j’arrête pour une longue période prédéterminée (1 ans, 6 mois, 1 mois, etc.) on y va une journée à la fois, c’est-à-dire qu’on arrête juste
Anonyme
Anonyme
Mon combat a duré 25 ans et m’a amené plusieurs fois à l’hôpital, en prison et presque à la morgue. Pour moi, la drogue prenait toute la place, du matin au soir, du lundi au dimanche.
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Une technique importante pour arrêter de consommer c’est de briser les liens avec les personnes liées à notre consommation (amis de consommation, vendeur de drogue, membre de la famille, etc.). Il faut éviter de se mettre en situation de risque ou on pourrait consommer. Je suggère de jeter ou oublier les numéros de téléphone des fournisse
Souvent quand j’ai rien de planifier et que je suis laissé à moi-même j’ai envie de consommer. Alors pour combattre mes envies j’essaie de toujours avoir quelque chose à faire. J’ai réalisé que s’occupé au maximum est une bonne technique pour rester abstinent. L’ennuie est un ennemi pour le toxicomane. Si on se laisse trop de tem
Une technique que j’ai apprise durant mon cheminement personnel c’est d’apprendre à partager mes problèmes au lieu de les garder sous silence. Le fait de partager aide à apaiser les problèmes. En partageant des fois on trouve des solutions et nos problèmes deviennent moins importants. C’est une des raisons pourquoi les meetings sont si
Comme nous venons de le voir dans la section précédente deux ennemis jurés du toxicomane sont la solitude et l’isolement. Dans les meetings on dit qu’un dépendant seul est mal accompagné. La consommation a tendance à nous isoler ce qui est dangereux. Évidement on est plus porté à consommer quand on se retrouve seul. Pour combattre la s
Une autre technique qui marche pour arrêter de consommer c’est d’identifier ses déclencheurs. Il faut savoir ce qui nous fait consommer. Les déclencheurs peuvent être des personnes, des lieux, des heures de la journée, des émotions, etc. L’important c’est de reconnaître les déclencheurs et leurs conséquences néfastes sur notre vie
Comme je l’ai déjà présenté au début de mon ouvrage j’ai souvent entendu dire en thérapie et dans les meetings que 15% du problème c’est la consommation et 85% sont les comportements. Souvent notre consommation cache des problèmes qui peuvent être de nature affective, relationnelle ou familiale. La consommation est souvent la pointe
Même si nous avons déjà abordé ce thème nous allons maintenant aller plus en détail. Les groupes de support (A.A., N.A. et G.A.) m’ont sauvé la vie, c’est vraiment ce qu’il manquait dans les thérapies et la psychothérapie. Je me suis rendu compte que les fraternités offrent beaucoup plus qu’une thérapie traditionnelle ou qu’une
La dépendance à la drogue peut être comparée à une maladie invisible qui est difficile à diagnostiquer et à traiter. Ce qui rend le diagnostic et le traitement si difficile c’est qu’elle est invisible à l’œil nue. C’est une maladie des émotions, une maladie qui se passe dans la tête. Les gens atteint de cette maladie ont un compo
Comme nous venons de voir l’argent peut être un déclencheur majeur en ce qui a trait à la consommation de drogue. Une technique qu’on peut utiliser pour rester abstinent c’est de demander à quelqu’un d’autre de contrôler notre argent pour un certain temps. Au lieu d’avoir beaucoup d’argent à notre disposition on limite son accè