Muere lentamente quien se transforma en esclavo del hábito repitiendo todos los días los mismos trayectos, quien no cambia de marca, No se atreve a cambiar el color de su vestimenta O bien no conversa con quien no conoce. Muere lentamente quien no viaja, quien no lee, quien no oye música, quien no encuentra gracia en sí mismo. Muere lentamente
Sandy Darko
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Articles à découvrir
La planète des vampires, Mario Bava, 1965
Ce mois de Juillet, deux petites pépites kitsch que je recommande aux aficionados de science fiction, car dans les deux cas il s'agit bel et bien de fantasmes étonnants : 1) La planète des vampires (Mario Bava, 1965) : science fiction spatiale, extraterrestres, hôtes/parasites. 2) L'opération diaboliq
Le Lendemain L’histoire est pas facile. On suit le retour à la vie normale d’un ado tueur qui a purgé une peine de deux ans dans un centre de redressement/pénitentiaire pour jeunes adultes, suite à l’assassinat de son ex-petite-amie. Je réitère donc : pas facile. Malgré le propos pas vraiment joyeux/joyeux, j’ai beaucoup aime l’app
NWR, le mec a tellement gravit les échelons depuis Drive que ses initiales sont devenues une marque de fabrique. Enfin, en vrai son nom il est imprononçable. Moi, perso je préfère l'appeler Refn, Refn le tendre, le doux, le gentil : AH AH. Bref pour les personnes qui n'ont vu que Drive, effectivement vous ne connaissez pas vraiment le dark side
Mois de Septembre oblige, fini les « conneries » (ABSOLUMENT FAN <3) , il a fallut que je me fasse un petit film du festoche de Cannes (Oh la snob), qui peuvent décevoir certes (rarement) mais laissez une trace dans la mémoire. De ce fait après le tumulte à Cannes, les critiques dithyrambiques, les affiches intempestives dans le métro, les c
American Hero : Frost Powa Que dire? Allez on va pas se mentir, je me suis tout particulièrement intéressé à ce film à cause de la plastique spectaculaire /parfaite/fantasmante de l’acteur. Ok, il faut savoir avouer ses faiblesses, et Stephen Dorff, il y a pas vraiment de mots corrects pour le décrire, y’a des personnes qui ont à peu pr
Dubitative. Voilà le maître mot pour définir le ressenti face à cet "ovni" cinématographique. Verhoeven, ça rime avec spécial, provocant, sexuel, ambiguë. Certes même en étant préparée psychologiquement à un certain choc visuel et scénaristique, je ne m'attendais pas à ce genre de film mi-provocant/mi-absurde/ mi-what the fuck. Le me