Ils étaient surnommés les Mousquetaires : Borotra, Brugnon, Cochet et Lacoste. 4 joueurs Français qui ont remporté 6 coupes Davis de 1927 à 1932. Une époque dorée pour une génération dorée. Quel rapport avec les Mousquetaires d'aujourd'hui entrainés par Noah ? De "Mousquetaires", Tsonga, Monfils, Gasquet et Simon n'ont que le nom, rien d

On y est. Ce soir, le monde du ballon rond va s'arrêter..Enfin en France, seulement, car autant être honnête, dans le reste du monde, on s'en fiche un peu de ce match, tout OM/PSG qu'il soit. Et à y regarder de plus prés, il y a de quoi zapper directement sur Gulli et regarder les Gremlins, histoire de passer un bon moment ! Marseille-Paris, c

Quelle mouche a piqué le PSG cet été ? Avec 3 nouveaux joueurs et 458 millions d'euros dépensés (en comptant le prêt de Mbappé), le PSG a décidé de renouveler sa garde robe, déjà bien garnie ! Fini le trio Di Maria-Cavani-Draxler, place à Neymar-Cavani-Mbappé ou comment passer de Célio à Armani, même si Célio convenait très bien.

Alors oui, j’avais dit que ce serait une raclée, un démantèlement dans les règles de l'art par le PSG car les forces en présence et le talent n’étaient que d’un côté, à priori. Mais c’est toujours facile de ne pas se mouiller et de parler après coup, quand la guerre est finie. Et bien figurez-vous que ce n’était pas si mal ce m

Il y a 15 jours, Dimanche 28 Mai, le coup d'envoi du second Grand Chelem était donné. Les pronostics allaient bon train : Djokovic allait-il réaliser le doublé ? Tsonga en route pour une première ? Wawrinka en reconquête ? Tout était réuni (même le soleil, c'est dire) pour un tournoi ouvert aux multiples rebondissements. Mais15 jours plus

"I love this game", telle est la dernière grande punchline de Tonton Pat, un tonton qui a bu un verre de trop lors du dernier repas de famille et qui perd la boule. Patrice Evra incarne à lui tout seul tout ce que l'on peut détester dans le sport collectif : un boulard énorme, une capacité à ne jamais se remettre en cause, en laissant ses co

Qu'il semble loin le temps où l'OL dominait la ligue 1 de la tête et des épaules, ne laissant que des miettes à ses adversaires. Tout ça, c'était avant. Avant que Jean-Michel Aulas ne devienne le président 2.0, twittant plus vite que son ombre. Avant que Bruno Génésio ne prenne la tête de l'équipe. L'OL version Génésio est en perte de

Monfils et Tsonga. C'est deux là ont un point commun : ils peuvent être imprévisibles et battre n'importe quel joueur du top 10. Mais souvent, ils font pschittt contre les meilleurs et cet Open d'Australie ne déroge pas à la règle. Ca en devient énervant pour Monfils et redondant pour Tsonga. Explications. Deux Français en quart de finale,

Légendaire, Sensationnel, Incroyable...Les superlatifs manquent pour qualifier la finale de cet Open d'Australie entre deux immenses champions, qui a vu le roi Roger être couronné au terme d'un match épique conclu en 5 sets par le Bâlois (6/4, 3/6, 6/1, 3/6, 6/3). Et dire qu'on les avait presque oubliés. L'un était absent depuis 6 mois, l'au

Il promettait un changement, un reset niveau mentalité et implication pour cette saison 2017. Après 3 mois de compétition, on est rassuré : Benoit Paire est toujours lui même, sur le fond et surtout sur la forme. Lorsque l'on aborde un sujet aussi épineux que celui du tennisman Français, il faut différencier le jeu et l'attitude. Toujours b