(10 novembre 2016, https://burundi24.wordpress.com ) Depuis le début de la crise un mot revient si souvent : SINDUMUJA. Mais en réalité qui sont-ils ? 15 aout 2014, Monseigneur NTAMWANA Simon lance le vocable « SIMDUMUJA » qui sera repris par une partie de l’opposition comme slogan de lutte contre le troisième mandat de NKURUNZIZA Pierre. E

INTERNATIONAL WOMEN LEADERS' CONFERENCE

Nous avons entre 50 et 65 ans. C’est un échangeant sur la situation de notre pays que nous avons décidé de vous écrire ce message. Nous ne sommes pas de même obédience politique ni de même ethnie. Cependant, nous partageons beaucoup de choses en amitié et en idées. De plus, nous sommes instruits, nous avons voyagé et vécu à l’étran

Sous d’autres cieux, l’intégrité morale est l‘une des conditions sine qua non pour occuper un poste de responsabilité, dans les institutions républicaines. Malheureusement dans certains pays africains et au Burundi principalement, il faut afficher un comportement irresponsable pour se faire un nom dans les hautes sphères du pays. Nous di

Au mieux on le tait, au pire on le nie, la main de Kigali est derrière les différentes crises qui ont endeuillé le Burundi y compris celle d’aujourd’hui et celle qui tire les ficelles est connue de notoriété publique. Il y’a une légende très rependue qui explique l’origine du nom « Kirundo » donné a l’une des provinces du nord d

Image du jour: la joie du Président face à la situation qui prévaut au Burundi

Déclaration signée le 22/08/2019 par les partis politiques et les gouverneurs

Le Lt-Col Edouard Nshimirimana ou la décadence d’un jeune officier en quête de pouvoir et d’argent En date du 23 décembre 2015 une équipe d'officiers de la Force de Défense Nationale (FDN) a créé une branche armée dénommée Forces Républicaines du Burundi (FOREBU) dans l'objectif ultime de mettre fin au pouvoir dictatorial de Pierre N

Bras de fer entre le Gouvernement du Burundi et le Haut Commissariat des Réfugiés; Pourquoi le HCR s’oppose t-il au retour volontaire des réfugiés ? Il y a quelques jours, le gouvernement tanzanien par le biais de son Ministre de l’intérieur décidait d’organiser le rapatriement des « refugiés » burundais se trouvant sur son sol. Cett