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Frère Flaubert

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Frère Flaubert

FRERE FLAUBERT est le fruit de passions communes de William Wilson LEWIS III pour la photographie et la littérature française. Si une photo vaut mille mots, milles mots valent bien une photo!! Voici donc le choc des clichés renforcé du poids des mots pour vous expliquer tout ce que je vois et ressens en France aujourd'hui
Frère Flaubert Frère Flaubert
Articles : 36
Depuis : 22/02/2016
Categorie : Photographie

Calais vu par Ca.Ravages

Regards croisés de poètes et de photographes sur la "jungle"
Frère Flaubert Frère Flaubert
Articles : 6
Depuis : 22/02/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Photo William Wilson LEWIS III

Photo William Wilson LEWIS III
L'échelle de Jacob

L'échelle de Jacob

Voyageurs sans bagage, Traversant sable et mers, Eternels nomades Fuyant la torture et la mort, Humbles et faibles fantômes, sans pain, sans eau, sans amour, Frères et soeurs de galère, ils gravissent barreau après barreau l'échelle de Jacob : les frontières et les murs de mains d'hommes montent-ils jusqu'au ciel de Dieu? Jacquelien HELD
Soleils couchants

Soleils couchants

Photo William Wilson LEWIS III Soleils couchants Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie Berce de doux chants Mon cœur qui s’oublie Aux soleils couchants. Et d’étranges rêves, Comme des soleils Couchants sur les grèves, Fantômes vermeils, Défilent sans trêves, Défilent, pareils À des
Le Long du quai

Le Long du quai

Le Long du quai Le long du quai les grands vaisseaux, Que la houle incline en silence, Ne prennent pas garde aux berceaux Que la main des femmes balance. Mais viendra le jour des adieux ; Car il faut que les femmes pleurent Et que les hommes curieux Tentent les horizons qui leurrent. Et ce jour-là les grands vaisseaux, Fuyant le port qui diminue,
Ne m'appelle pas étranger

Ne m'appelle pas étranger

Ami, Ne m'appelle pas étranger. Ni d'une île, Ni de la mer, Ni des fleuves. Comme toi Poussière d'étoiles Et nos ancêtres Venus des terres d'ébène Tu t'enfermes Et me parles de frontières D'Immigrés D'immigrants D'étrangers De sans-papier Que sais-je Qui t'a légué la terre Je vais Je viens Je passe Arrachés du néant Nous allons au pay
L'encre qui coule de mes yeux

L'encre qui coule de mes yeux

L'encre qui coule de mes yeux Pour revendiquer la liberté S'échoue sur le sol désastreux D'un monde complètement révolté. j'essaie en vain d'exister Et de me reconstruire peu à peu Sur une liane prête à céder Même si je le fais de mon mieux Tous ces gens en ébullition Qui courent partout sans se retourner N'entendent pas le cri de la ra

Photo William Wilson LEWIS III
Bienvenue à Calais

Bienvenue à Calais

Textes de Marie-Françoise Colombani Dessins de Damien Roudeau REFUSER LA HONTE Ne laissons pas s'inscrire aux frontières de la France la devise qui orne l'entrée de l'Enfer de Dante : "Toi qui ...