Pourquoi le Maroc dans cette catastrophe qui vient le secouer ? Encore sous le choc du tremblement de terre du Maroc, le son des murs qui se fissurent hante mon sommeil. Il est 2h30, je sors sur le balcon respirer un peu d'air frais et contemple le ciel nocturne de Lyon capitale des gaulles. Je refais le film en quelques étapes : Début 2000, lors

Non. Le jeunesse marocaine n'est pas polluée par les pouilleux car est pouilleux tout islamiste djihadiste obscurantiste porteur d'une barbe en guise de nid de poux... Il est 14h15. Je monte dans le train à Fes capitale culturelle est religieuse et ville musulmane la plus ancienne du royaume du Maroc. Le poinçonneur de la gare m'indique la voitu

Il fait un froid de canard. Les feuilles des arbres sont couvertes d'une couche blanche. Le parking tout comme la route qui mène au cimetière sont verglacés, et il m'a fallu être très vigilant pour ne pas glisser en descendant de la voiture. Un groupe d'européens bavarde non loin de l'entrée principale. Certains sautillent pour se réchauffe

L'ambiance est curieusement silencieuse malgré une bande son digne des meilleurs bruiteurs californiens. Le temps est figé. Il n'est pas arrêté. Il est juste figé comme suspendu au dessus du néant. Tout est à l'arrêt jusqu'à la fumée qui s'échappe du pot d'échappement du bus. Il devait être sept ou huit heures du matin lorsque l'horlog

" L'œuvre de Kilito met irréfutablement en scène des personnages livrés à eux-mêmes, sans orientation précise dans la vie, ni référence crédible à même de conforter leur identité. Les idées (réflexions) évoluent viscéralement déboussolées, en dépit de leur apparente cohérence. D'une réflexion à l'autre, la recherche d'un sens

La voix lourde et sèche de Batma raisonne près de là où coule le mythe. Colorado. Le nom vibre telle un arc caressant les cordes tendues d’un vieux Ribabe. L’eau apparaît et disparaît au grès de l’humeur du ciel où s’amusent quelques condors. L’envergure infinie de leurs ailes leur donne de la majesté et procure un respect indesc

D'abord. D'abord. Il y a LUI. Le père. Il a toujours voyagé librement dans l'éternité de son monde imperceptible aux yeux des autres. Puis, il y a ELLE. La mère. Elle a défait et refait les ruelles de Derb Sultan. Née à Marrakech et aînée d'une fratrie de trois filles et un garçon, elle portait ses tresses noir-charbon et son accent comm

وانا طفل، كنت انادي على اصدقائي بأسمائهم ومن حين لآخر بقرابتهم... محمد ولد فلانة عبد القادر ولد فلان تعودت وانا صغير ان اسمع عن فلان ولد فلان أو ولد فلانة وفلانة بنت فلان او بنت فلانة الإبن ولد ا

Quel est court le chemin qui sépare la jungle du ventre de l’homme affamé ! Ceci ne te dit très certainement rien. C’était une citation de je ne sais quel philosophe, reprise par un non moins autre philosophe qui nous a tout appris de l’abstraction : Miloudi l’ami, le prof… que je cherche depuis longtemps et à qui j’ai adressé une

La conversation a été introduite en marocain, pour de suite, donner son ton à la rencontre : Ahlane! Ahlane! Ahlane! L’intonation de sa voix m’a renvoyé quelques années en arrière. Il s’efforçait, appuyait les mots et sentait l’hypocrisie. Je ne connaissais pas l’énergumène qui me faisait face et il ne m’inspirait rien qui vail