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Un (petit) monde perdu...

Quand je louche sur le silence, je dessine des mots sur le vent, ça fait naitre des murmures aux ailes des oiseaux...
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Articles : 35
Depuis : 28/01/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Démod'amour

Démod'amour

Et l'existence entière peut paraître incertaineDans le désert des femmes des hommes perdus en merC'est le vent qui soulève ce qui semble poussièreDessous c'est le charbon qui tremble de lumière Les braises dans le foyerVibrantes encore un peuVivant sous les paupièresIl reste un peu de feu Et l'existence entière peu paraître sans mesureDans

m-o-t

Un courant d'air pourrait...Conditionnel surfait sur un classique de Bob MarleyStir it up
Rumeur Nocture (Sang de Boeuf)

Rumeur Nocture (Sang de Boeuf)

Ils ont essayé, maintes fois de maintes mains les couperets tombésLes anguilles aiguillées les folioles décharnésN'ont pas su nous porterEt le sang et le sang et la mort et le sangCoulent des gorges des veaux non encore nésC'est la valeur des hécatombes qui orne d'or les tombes des voleurs Mustang je rêve de plaines sans valeursMais je suis
Il était...

Il était...

Comme il était une fois Trempé à l'ancre des Je sème À l'encre-sel de nos larmes Aux gouaches, les armes des Je saigne Il était trois-cent fois Mais qui encore s'en rappelle Les étoiles brutes tombées du ciel Et les diamants mariés aux mers Je me rappelle, je me reviens Et je suis cent rumeurs déjà Cent fois le monde pris sur lui-même I
Rosier

Rosier

J'ai passé de regards en sourires et l'or des matins bercés de lumière Sous l'ombre d'un rosier ses pétales fanés offerts au monde entier Écoute-les parler De si loin la mémoire ruissèle, morcelée, ses couleurs, Trompées, suaves, écoeurantes amoureuses Se mélangent à l'alcool de nos parniturentes Je rêve de douceur, mais c'est le givr
Mémoire

Mémoire

J'ai jeté des sirènes à l'abordage des hisses etHo !La grande mère à l'avantage des idéauxIl fallait du grand large et des oiseauxAlbatros et toucans, et un vieux pélicanSont venus en renforts de mon catamaranKatana réfuté les pieds dans l'os et hanC'est un âne à grandes dentsQui est remonté dans le courantÔ mer, matrie des apatridesMa

Contes absurdes

Première Partie L’ENFANT Notre voyage prend ses sources il y a à peu près quinze siècles de cela, quand les chasseurs de dragons avaient encore de la besogne, et que les pêcheurs maladroits tombaient à l'horizon. En ces temps là, donc, beaucoup de sorcières chauffaient les villages, les bonnes comme les mauvaises, leurs qualités calorif
D-clés

D-clés

Dés, clés à l'abord d'âgeD'abord des clés perdues en l'airDes clés fauchées des clés perd-siennesDes clés, dés numéro-théSans numéros, des clés perchéesAux milles à bordAux mirador des adorésLes chats mes chantsÀ la course aux îles aux très orPas d'or des filtres de tempêtesLe temps perd, amantDes filles de l'airJouons un peu s
Dans les autres rêves

Dans les autres rêves

C'est comme le soleil qui tourneQui roule pris dans un sommeilEt qui nous rêve de lumièreMais sous le charme nous a briséEt si c'est Dieu, c'est la misèreC'est la souffrance et c'est la guerreEt c'est le sang et les orgiesEt le silence pesant des messes Les églises aux clochers sont penduesComme des lourds oiseaux de pierreEt sous le ciel qui
La remontée

La remontée

Et des étoiles naissent dans les gestes tremblants Les voiles se déchirent l'inconscience s'allume De grandes roues qu'animent les voix reconnaissantes Et les âmes fossiles se rappellent à la vie J'allume des étoiles j'allume les voix des anges Je donne en pénitence les raisons qui m'enlisent J'écoute les lueurs qui tracent dans le ciel gris