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Laura

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Tags associés : affiches, crea, poesies

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" My Words & Com"

Poésie, création, communication sont les trois épices magiques qui viendront pimenter ce blog !
Laura Laura
Articles : 28
Depuis : 22/01/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Un morceau de modernisme

Un morceau de modernisme

Un morceau de modernisme Promenade dans les croissants circulaires, Quartiers emportés par les vieux hivers, Chariots terrifiants où germe la poussière, Procession qui secoue les religions prospères. Les graveurs de caveaux sont ambitieux, Ils grignotent les rives de nos aïeux. Sculptent dans les artères des ports, Transcrivent les signaux de
Terre impure

Terre impure

Terre impure... Pesticides, « zachariens », ne mangez pas tout ! « zachariens », pesticides, laissez-en nous ! Le ciel des morts c’est aujourd’hui la terre. Où irons-nous si la mer suit le même calvaire ? Le tintement de l’heure, annonce Un nouveau sacrifice. Ces sales bestioles savent manier l’artifice. Même l’odeur est masquée,
Plaies sur terre

Plaies sur terre

Plaies sur terre Modeler ton visage, Effacer ta compassion Epurer ta douceur Creuser profondément Faire mal à ta pudeur Tu sens l’indicible La puanteur de l’être qui veut détruire. Au couteau je te sculpte, je taille sous tes artères plus de sang qui coule Animant tes paupières. Tu es morte Comme ce buste né dans l’argile Au crépuscul
Show case au Garage

Show case au Garage

~~Show Case au Garage ! Plaques émaillés suspendues Sur les murs anarchiques Elargis par les temps Qui ont coulé Sans que le sablier s’en aperçoive. Mutation Phobie de l’oxymore Quelques zouaves Boivent encore Du gavage Au Garage Bacchus, César et le vieux Blues Sont accoudés au bar Il est trois heures à Dublin ! J’ai l’âme arraché
Innvitation

Innvitation

Marché de Producteurs de Pays, 2011 L.V

Le Marchand d’eau de Séville. Dans les lueurs de ce verre scintillant J’aperçois un peu de ton regard d’enfant. L’espoir respire sur la délicatesse de tes mains Et l’eau dans les cruches entame un nouveau refrain. Autour de ton corps, le décor disparaît Mais je sens la chaleur des ruelles nous emparer De cette jeunesse modeste, ivre