Sans souci la nation la plusse meilleure au monde où l’actualité est l’inévitable spectacle du sport du sexe du sang + ne paraissent que des ratés qui s’exhibent avec leurs gueules de cul et se torchent avec des dollars + le passé repassé des héros en béton les pages d’une histoire goudronnée la culture des troupeaux des clôtures

- nouvelle de pierre marcel montmory - séraphin, judith et ibrahim nouvelle de pierre marcel montmory son petit pied glisse dans la chaussure à talon-aiguille, entre ses doigts longs et fins. elle attache la bride de cuir noir autour de sa cheville diaphane. elle allonge sa jambe de ballerine et ses mains frôlent son galbe en remontant jusqu’

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La guerre c’est la fin de tout. toutes les guerres sont inutiles. la mort gagne toutes les guerres. la guerre est un crime.

J’ai dû d'abandonner mon nom pour un pseudo ! divagation de faty hô j’ai dû d'abandonner mon nom pour un pseudo ! malgré certains trolls qui sont venus polluer ma page hier je continue ! c'est juste une divagation, pas un poème, juste dire, crier, dénoncer ! pour la photo, c'est toujours la mienne "ma gueule" même si elle peut ne pas pla

Chiennerie de peuple ! le roi des cons le pape racolent pour les satrapes dans la confusion du peuple mouton les banquiers dans leurs bunkers nostalgiques d'hitler interdisent les questions la réponse ils l'ont pouvoir pouvoir avoir avoir tout tout ouah ouah la petite france des grandes idées a bien d'la chance d'aller voter aux larmes tous les c

Le pib, un dieu vénéré qui règne en maître. sainte croissance, priez pour nous nous vivons dans une société qui a fait du pib un dieu vénéré qui règne en maître sur la gouvernance politique. dans un monde stupide dans lequel, si vous payez quelqu’un pour creuser un trou et un autre pour le reboucher vous créez du pib. sachant que les

Vue du ciel 1 vue du ciel le beau pays qu’on aurait paysages de cartes postales la terre nue vue par les racines 2 les chers propriétaires des beaux quartiers dans leur design merdeux de croquemorts consomment tout ce qui assomme 3 l’idiotie américanisée veille à la sécurité des bordels les macs paient la donne aux putains 4 le président

Orphelin du temps trêve de misère la douleur ne fait pas la paix malade de la guerre ma vie ne peut guérir enfant de la guerre grandissent mes blessures le présent toujours passé entre les murs du bruit mes yeux ont trop pleuré pour avoir des larmes mon cœur déchiré ma voix en morceaux il n’y a personne pour sentir pour voir mon obscurit