Sous milles reflets seul l’intéressé pourra y voir son compte l'accessoire cache l'essentiel, le rire et le mensonge abonde la lumière n'offre que détails inutiles en tout temps l'obscurité est l'antre véritable de toutes les facettes. ,, Ce masque moule notre être Un jeu de lumière pour paraître les lignes écarlates suintent le long de

Il frappe à ma porte, une nouvelle lassitude triomphante l'emporte, chaque respiration prend une éternité à se former, temps ralenti par mon vide de pensée. _________________ Nos sentiments ne sont que nourriture destinés aux seigneurs de l'horloge, se gorgeant de manière répugnante de quelqu’une de nos émotions, ces os jetés forment le

Lentement, une douce agonie agît sur mon environnement, d'une beauté écarlate, elle consume de sa respiration haletante, avec son rythme saccadé, elle danse, de manière exquise, amusée, elle parcours chaque parcelle de ma chair, d'une sueur mêlant plaisir et souffrance, goûte ma peau. --- S'élevant jusqu'à nous en faire hurler, purificatr

Cruauté dégoulinante sonnant le cor du septième ciel formant l'idéologie logique de la luxure décadente. Que mes cornes et mes griffes t'arrachent chaque membre et que mes dents se repaissent de ton cadavre. Je hurlerai à chaque fois que tu pleurera. Désolation et Damnation, je ne suis que le tabou interdit d'un amour démesuré voué à éc

Cette alchimie en ébullition ravage ma théologie, mes idées sont perdues dans un flot incessant de réflexions sans concessions, Une transfiguration plutôt épique, passage de solide à liquide, plutôt limpide, version alternative du morbide, Ma flamme, mon Flamel s’éteint à chaque fois que je vide mon âme à la méditation, doutes rapace

Temps épileptiques, l'envie d'un espace purement narcoleptique fait monter mon adrénaline, prêtre d'une nouvelle ère d’Aspartine. diffamations et adorations, tes croyances sont castration, la torture du soi viens d'un mental préparé à la révélation, aspire ta déception. Littérature qui pique, détriment du physique, mes relations espé

Viens l'arrivée d'un jour nouveau Une aube sous le signe de la lassitude S'étirant d'un geste presque trop beau Une douce mélodie qui apporte servitude. ---- Abject est l'état mental de l'éveillé Déroulant l'actualité sans intêret Ignorant les catastrophes toujours plus présentes Se cherchant dans l'humour torturé D'un sourire il fouille