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david ralin

david ralin

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écrire c'est exister

je vous invite à explorer mon univers au gré de mes pulsions, mes inspirations. Certains connaissent ma face d'autres verront mon pile mais sachez que vous ne pourrez ignorer cette douce angélique voir maléfique envie d'exister de mes maux par des mots
david ralin david ralin
Articles : 44
Depuis : 01/11/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Amour clandestin

Amour clandestin

Amour clandestin que la passion d’une déclaration au balcon Toi poltron, friand de ce poison a passé outre le péché Pour sombrer aux pieds de ta fiancée. Aux saveurs de cyanure pour que le plaisir perdure A la fraicheur d’une gerbe de fleurs à la belle saison, Qui aime à se nourrir de choses impossibles Tu restes impassible aux battement
L’amour est comme un fléau

L’amour est comme un fléau

L’amour est comme un fléau, un fardeau Une peste angélique qui te colle à la peau . Un si beau vaccin, antidote des émois Car de moi à toi, tout est rien à la fois. D’une errance que je ne peux conquérir sans toit Jusqu’à l’abandon de soi…………… Quand la flamme s’affaiblit, sa douceur au noir Quand le vide est synonyme d
Hello moi

Hello moi

Hello mon ami chéri ou ennemi Tu te prends pour qui, Tu arrives à me triturer l’esprit Comme un bistouri sali. Tu te permets de me juger Parce que tu te dis je le connais. Tu as ta propre vérité Expérience tissée au fil des années. Moi sans vouloir t’offenser Je préserve mon jardin caché Quoique que tu arrives à décrypter mes faciès
tes mains............

tes mains............

Dans les lignes de ta main Entre peines et chagrins, Entre vides et peurs, Entre rires et chaleurs, Entailles tracées, énigmes de cartomanciennes Fécondes de milles étincelles prêt à illuminer ta destinée, Comme les comètes des galaxies maternelles, Sommeillent en elles tant de merveilles. D’un charme sans pareil comme des sœurs jumelles
trahir

trahir

Soir de pénombre, lune blonde Qui fait ressortir en moi Tout ce qu’il y a de plus sombre. L’amertume qui flatte la solitude Absurde servitude d’un amour déchu. Je ferais de toi ma proie Sur ma foi telle sera ma loi, Cette petite lumière en moi, Je la ferais jaillir car sans faillir Pour éteindre ce feu incandescent Qui t’a permis de me
introverti

introverti

Pas de sons dans mon regard crispé, juste des mots silencieux Qui disent ….. Mais impossible de respirer pour un présent radieux. Je ne puis dévoiler mes pensées à toi de les deviner, Je sais ce n’est pas glorieux mais je reste boiteux Quand il s’agit de me livrer. Et toi comme ils sont toujours bavards Tu peux tout y voir. Tu y perçois
Me paralyse de peur

Me paralyse de peur

Collectionne les cœurs mais ne les brise pas Gare à toi respecte les nanas de leurs jolis minois Au péril d’une vendetta tu périras. A en perdre haleine tu cours après ces sirènes Amoureux transi reste fidèle à cette épouse le jour Combles la et honores cette maitresse de torrides nuits. Ne fais pas comme moi………….. Je ne jetterai
Tout petit

Tout petit

Tout petit on t’a dit tu apprendras la vie Après quelque temps tu apprendras que tout le monde te ment. Que tu tiens bien plus de tes parents De ces confluents dépendants tu deviendras un géant, Dans ce bel élan, mais que ce doux vent d’orient, Dans ta voilure luxure de liberté, marées désordonnées, Te fera revenir à quai dans les bras
artiste ......

artiste ......

Aux coups de pinceau d’un maître, sans ombre au tableau D’un plumeau dépoussiéré à la magie de tes couleurs, Mettre à la place du bonheur la chaleur de cette contemplation D’une aquarelle caricaturale, d’une nature morte qui donne la vie, D’un paysage au pastel égayé, d’une croûte au fusain, vieux cliché d’illusions Bavure d
D.......

D.......

A l’heure des adieux, regards poussiéreux D’un cœur aux aboies frappé de démence Quand d’un éclair le temps a livré sa sentence. D’un coup de poignard quitter ces ronciers ombrageux, Pour transgresser mes vœux de ne plus jamais vouloir aimer Car pouvoir serait synonyme pour moi L’abandon de mes frustrations, de mes souffrances. Cha