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Ait Mohand Idir

Ait Mohand Idir

Pour ne pas décrocher après ma mise à la retraite, je passe la plupart de mon temps à bricoler sur l'Internet, une drôle de manière de marquer mon territoire ici-bas.

Ses blogs

Ait Saada Yattafen

Récits, images, toute une chronique inspirée de l'horizon de mon enfance qui me semblait circonscrit aux limites du Djurdjura.
Ait Mohand Idir Ait Mohand Idir
Articles : 47
Depuis : 08/10/2015
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

La nuit du destin de Djouher

La nuit du destin de Djouher

Cette nuit de décembre la neige était au rendez-vous. Pendant toute la semaine, il n’y avait pas eu le moindre nuage, le ciel était d’un bleu azur et le soleil réchauffait de quelques degrés la température glaciale des longues nuits d’hiver. A l’intérieur de la maisonnette, les grosses bûches de bois de chêne laissaient tomber leur
A l’attention de la génération WIFI

A l’attention de la génération WIFI

Mise au point sur Les Beni Yenni et les Akbils. Ce fragment d’histoire avait commencé en 2007 avec la création d’un blog dédié à mon village que je voulais faire connaître. La suite a été une succession de contacts dont une rencontre que j’ai initiée entre JLB, auteur des photos et CGJ Adm de Miages-djebels. Il serait ardu de reprend
Chitane en personne

Chitane en personne

Après avoir débusqué le diable qui est en moi (lien) , il fut de retour dans toute sa beauté pour frapper fort (lien) , le voici encore revenu sous l’apparence d’un moustique pour piquer là où ça fait mal. Chitane Alias Moustique, est pire que Setouta la sorcière qui eût raison du Djinn en lui jouant un tour de passe-passe. Setouta, no
"Tajmilt" ou l'hommage par anticipation

"Tajmilt" ou l'hommage par anticipation

Ma dernière publication accompagnée d’un enregistrement audio que j’ai partagée sur fb, n’est qu’un hommage que je rends à mon épouse, et par ricochet, à moi-même car personne ne le fera à ma place. Quand j’ai pris mon bâton de pèlerin en 2007 pour une aventure virtuelle, c’était pour raconter un vécu riche d’anecdotes que
Homme ou rat des champs

Homme ou rat des champs

Azul fellawen mera sauf celui qui avait signé l’Homme via deux commentaires sur le blog Ait Saada que j’avais créé en 2007 afin de faire connaitre notre village. Croyez bien que j’étais choqué d’apprendre que le commentateur était de notre village. Oui, il s’était trahi par le mot "bizare" lors de son 2ème commentaire. Ce surnom q
Le suicide virtuel d'un ami

Le suicide virtuel d'un ami

Tant d'années nous unissent, lui et moi. Tant d'années que lui-même voulait mettre en verbe : un penseur de chez lui et moi penseur de bien loin. On se salue dans nos langues "Azul" et "Egun", on se dit amis et faisons tout pour l'être. On s'échange et échange. L'un est soi-disant analphabète, l'autre un peu plus instruit, peut-être au sens
Images d'autrefois

Images d'autrefois

Un grand merci à tous les bénévoles qui, de l’autre côté de la méditerranée, ont permis la publication de ces souvenirs d’une époque qui, même si elle ne rappelle rien de bon à personne, reste dans les mémoires d’un côté comme de l’autre. Autour d'Ait Saada entre 1959 et 1961.
Personna non grata au village

Personna non grata au village

- Fais-moi traverser la rivière s’il te plaît, dit un scorpion à un papa-grenouille confortablement installé dans son cours d’eau. - Mais non, tu as un bidule qui peut me tuer si je te portais sur mon dos, répondit le papa-grenouille. - Je te jure que je ne te ferai aucun mal, promit le scorpion d’un air apitoyant. Le papa-grenouille, da
La voix outre-tombe de ma mère

La voix outre-tombe de ma mère

A la mémoire de Djouher AIT MOHAND née AOUDIA le 8 mars 1922 et décédée le 8 septembre 2003. Il m’a fallu attendre longtemps pour me décider à écouter ce message d’outre-tombe émanant de ma mère qui, peu de temps avant son décès, m’avait demandé de lui trouver un magnétophone. J’étais loin de m’imaginer ce qu’elle allait
Ramadan ou le crime parfait

Ramadan ou le crime parfait

« Le diable, je suis bien obligé d’y croire car je le sens en moi ». Citation de Charles Baudelaire. Cet esprit du mal, le plus souvent aux traits hideux et repoussants, redouble de férocité pendant ce sacré mois de Ramadan. Il faut le voir en pleine action dans une arène, menant sa corrida sans pitié. Respirant à plein naseaux, cornes a