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White Feather

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White Feather

Le terme plume garde un rôle symbolique, il désigne l'écriture, un écrivain, etc... Dans de nombreuses symboliques s'appuyant sur la théorie des Quatre éléments la plume est reliée à l'air, ou au souffle qui est à son tour symbole de vie. Les Égyptiens de l'antiquité appelaient la plume « le traceur de tout ». C'est le symbole de l'expression de la parole divine délivrée par l'écriture. [...] pour les peuples nord-amérindiens, la plume d'aigle apporte la sagesse à celui qui la porte.
White Feather White Feather
Articles : 39
Depuis : 11/01/2008
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Face

Face

Hurle le loup, hurle ! Mécanique dépassée... Chante l'homme, chante ! Mécanique épuisée... Les larmes ruissèlent, les coeurs palpitent. Les Anciens ne sont plus, les jeunes autistent. Que sommes-nous ? Qui sommes-nous ? Perce-yeux chevauchait la pleine lune, Visant en contrebas les restes fumant d'habits, d'oublis et de runes Que les pillard

A Dieu (Part. III)

Dieu, je vous retrouve enfin ! Vous, cet imperturbable gamin. Vous vous pavanez sans qu'un bruit ne sorte Des bouches de vos âmes fidèles presque mortes, Et retravaillez encore et encore Vos passions, vos désirs et vos trésors. Oui, je pleurs. Oui, j'ai peur. De voir que ce qui sert l'humanité Devient un pantin désarticulé. Comment pouvez-vo
Meteor

Meteor

Les déserts et les montagnes, Les rivières et les marais qui stagnent, Tous admirent le passage De l'étoile filante, l'oeil du sage. Silencieuse, resplendissante, Elle crève le ciel d'une queue puissante Et illumine le coeur des uns Qui cherchent à l'atteindre de leurs mains. Les autres se terrent, agonisent, peureux Face à l'incarnation de l
Innocence

Innocence

Innocence, Peine perdue, Dans les plaines exigües De notre conscience. Poussière de lune, mousse de fortune... les taules se tordent et se confondent Ne faisant qu'un avec un monde ; monde de peur, d'idées, de futur, de nouveauté... Encore Dieu Soupirs, délires, fous rires, elixirs de jouvence et de jeunesse pour conserver la vie éternelle. C

A Dieu (Part. II)

Ce pourrait-il que vous m'ayez oublié ? Ce pourrait-il que vous soyez émerveillé ? Vos foudres divines vous tournent la tête, Et votre divin égoïsme vous entête. Vous ressemblez à ses enfants capricieux Qui demandent et qui ne pensent qu'à eux, Qui se prennent pour le roi du monde Alors qu'ils ne règnent qu'une seconde. A vous voir ainsi,

Jour 122

Il était temps de sortir. De faire fi de tout et de vivre, non ? On a laissé tomber ce petit coin de toile pour un plus grand rêve avec Y. Je me permets donc de vous présenter mes excuses pour cette disparition imprévue et de longue durée. Je ne vous avais pas oublié pour autant, et maintenant que je suis de retour, je me devais de replonger

A Dieu (Part. IV)

Le fanfaron fait sa besogne, Alors que dit ta petite trogne ? Dieu, Satan et autres utopies... Tu les lances en l'air avec sauvagerie. De connaissances, je n'ai que moi, De croyances, je n'ai que toi. Ouvrons la boite de Pandore Pour laisser s'échapper nos torts. Oui, vas-y ! Ecrases moi de ta superbe ! Dieu, Satan et autres utopies. Je connais le

Le Poison, la Bouteille et le Poète

L’aube changeante éclair les chemins de travers. Les vieux se lèvent, rotent et se grattent le derrière, La barbe pleine des restes de la veille Donc ils rêvent encore, les yeux plein de sommeil. C’est à cette heure que toute la ville se lève, Que chiens et chats abandonnent leur vieille trêve, Que leurs coups et cris entament le silence

A Dieu (Part. I)

La Douleur et la Mort Sont mes seuls mentors. De vous, je ne garde que l'image Car ma foi s'égare au creux des âges. Têtu fanfaron Je n'en conserverais que le nom, Pour vous faire plaisir Et vous laisser dire. Le compagnon des affligés, L'amis des oubliés. Je suis la Mort au masculin Alors que vous êtes Dieu au féminin. Comprenez donc que je

La Dévoreuse

Langue de vipère, Mère de tous les vices ! Vieille femme amère, Dévoreuse de génisses ! Que crains-tu, Sorcière ? La lumière et l'eau chaude ? Les voeux ou les prières ? Que crains-tu de nos odes ? Lilith, femme guerrière, Dévore coeurs et âmes De ces hommes en prière ; Brûle-les de tes flammes Et réchauffe mon coeur De leurs cris et