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Djidi

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le blog kolaboi par : Jeremy

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Djidi Djidi
Articles : 25
Depuis : 15/03/2006
Categorie : Économie, Finance & Droit

Articles à découvrir

Au héros bousillé

Que feras-tu mon gars, meurtri dans le brouillard Tu braveras les dangers, combattras à l'épée Tu voudras résister, crier ta liberté Pour enfin oublier ce sinistre cauchemar Que feras-tu mon gars, contre cette infamie Prophète visionnaire si fier de son combat Pleurant chaque victime, de ses chiens, de ces rats Hurlant telle une mère la pert

L'Illusion Poétique

Angoisse créatrice, ô oeuvre inachevée Immaculé papier appréciant peu mes plaintes Jamais ne portera tant de choses si saintes Que sont ces artifices, volupté et beauté Tristesse de la nuit, ivresse pervertie Ecriture si perfide, et qui trône tel un roi Redoutable ennemie, puissant cheval de Troie Car tu renies mes peines, sacrifies mes env

Le rempart de la vie

Que sont donc ces remparts que je fuis sans envie Camisole alarmante, ce tombeau infini Où vont toutes mes plaintes si jamais n'est l'absinthe Si même mon ivresse me berce dans l'enceinte Et qui pousse ces cris, terrifiants, qui gémit Qui en veut à ma vie, et qui me répudie Que me sert de hurler, si c'est pour en crever Si même ma détresse e

Voyage nocturne avant le rêve

La trame - s'il en est une - de ce récit s'est imposée à moi alors que j'allais m'enfoncer dans un profond sommeil. Je décidais de me livrer à une expérience amusante, inhabituelle pour moi : l'écriture automatique. Pour rajouter de la difficulté, j'écrivis dans un noir complet. Le lendemain, je retouchais le texte (illisible par endroit)

Impressions

Texte entièrement écrit dans le RER, après une soirée mémorable dans Paris. Fin de l'année scolaire.Essai de livrer d'un coup toutes mes pensées ; tentative surréaliste de dominer son esprit. Quelques retouches de style. D'abord le téléphone qui inspire et expire, qui n'en finit pas de gémir. Du mur du fond, envoyant par salves réguliè

La renaissance

Au loin je ne perçois que ce voile lactescent et opaque qui inonde mon corps, cherche mes sens, pénètre mon esprit. Quand je ferme les yeux, l'immaculé linceul resplendit, le souvenir s'intensifie et sa forme devient plus forte encore que quand mes sens cotoyaient l'horizon funèbre.Mais ce n'est pas seulement l'image de la mort. Quand je me su

Au tour de Carolin

J'étais venu pour elle Pour Carolin Je gravissais les marches Rien que pour elle Ma Carolin Et je l'ai vue Au loin elle souriait Comme elle était belle Quand elle souriait comme ça Comme ça au loin Ma Carolin Je me suis rapproché Plus près toujours plus près De Carolin Elle aussi s'approchait Je sentais son parfum Je devinais son corps Je fr

Janis a dit :

Texte écrit dans un état d'ivresse avancé. Retouches de rigueur et de style. Certains mots indéchiffrables ont donné lieu à des remaniements complets. Impression de planer au-dessus de ma vie. Une vie, un instant en oxymore ; entre tentative de fuite et soumission aux joyaux de l'Inconscient.Des rires dans la nuit qui se veulent conciliants.

Vol 93

Il m'arrive rarement d'être totalement absorbé par un film. C'est encore plus vrai avec un livre ; peu d'auteurs parviennent effectivement à me retenir, de sorte que je n'ai jamais honte de ne pas tourner la page, d'arrêter ma lecture quand la fatigue ou la lassitude se font ressentir. J'ai accroché à de nombreux films, mais aucun ne m'a jama
Un cri porté à l'infini

Un cri porté à l'infini

Un texte pour me remettre à écrire, pour ne jamais me laisser détourner d'une absolue nécessité. La vie est fade. Seul ce mot convient. Je passe inaperçu parmi les ombres, le matin et le soir. Moi-même je deviens ombre, mes forces m'abandonnent et je crains de m'échouer, un jour, sur quelque plage lointaine. Et de m'y enfoncer.Chaque jour c