Http://linconnudumetro.wordpress.com/ -- et voici un blog drôle et touchant, je vous encourage à y jeter un oeil ! le concept parait pourtant simple : à chaque jour son portrait ; celui d'un inconnu dans un métro (parisien le plus souvent). toutes ces histoires et parcours personnels sont racontés par petites touches (manque de temps oblige...

Un film kabbalistique et agnostique à la fois, avec en toile de fond l'angoisse de la mort. a serious man, des célèbres ethan et joël cohen, s'ouvre sur une scène bien mystérieuse, au terme de laquelle un meurtre sera commis (un remake du bal des vampires selon certains critiques...). mais cette scène d'ouverture introduit aussi une série d

Lou ye, que j'ai eu le plaisir de rencontrer dans le cadre du festival zoom arrière de la cinémathèque de toulouse (il est venu présenter nuits d'ivresse printanière au cinéma l'abc), signe ici un film fort sur l'homosexualité en chine. j'en suis ressortie avec une boule au ventre : c'est que l'on assiste tout de même à un suicide, une ten

Le nouveau projet de mirwaïs, avec la chanteuse yasmine, dont je vous avais parlé précédemment lors de mon billet sur le film d'elia suleiman. voici le clip du premier titre de l'album arabology : get it right link et surtout, le magnifique remix de stayin alive que l'on entend dans le film de suleiman : ouvrez bien vos oreilles et laissez vous

Vincere est le portrait poignant d'ida dalser ; l'épouse répudiée de benito mussolini, séparée de son fils (benito albino) et envoyée dans un asile où elle finira ses jours. le combat de cette femme, qui, emportée par la passion, ira jusqu'à sacrifier son propre fils, est à la fois bouleversant, effrayant et dérangeant. ida ; belle femme

Un très beau film. on s'égare dans paris et les ruelles de l'italie et on y voit surtout une famille formidable, en apparence. même dans la détresse, les trois filles et leur mère illuminent l'écran, tout comme grégoire ; le personnage principal, qui voue un amour passionel, charnel au cinéma. c'est précisément le septième art dont il s'

Un très bon film à signaler : the time that remains d'elia suleiman. le cinéaste nous montre nazareth à trois époques : en 1948, lors de la guerre israélo-arabe, qui débouche sur le contrôle des territoires palestiniens par le nouvel état juif, dans les années 70-80, pendant l'enfance et l'adolescence du réalisateur. et, enfin, dans le n

Paris a revêtu les couleurs vert-blanc-rouge en ce mois de juillet, avec de nombreuses rétrospectives de comédies italiennes des années 60. je n'ai, hélas, pas pu toutes les voir, mais une a particulièrement retenu mon attention : il s'agit de divorce à l'italienne, un film de pietro germi, sorti en 1961 et qui est à se tordre de rire. la p

Un fabuleux détour en compagnie des enfants terribles de téhéran : voila ce que nous offre les chats persans de bahman ggobadi, tourné en iran sans autorisation et en quelques semaines seulement. l'urgence et la clandestinité transpirent donc tout au long du film. les plages musicales sont l'occasion pour le réalisateur de nous emmener à la

Musée rodin. paris. la valse le secret l'étreinte