Que souhaiter à tous les jeunes auteurs qui ont eu la chance de publier un livre en 2010 ? que la plume les démange encore et toujours (...ou qu'elle les chatouille, c'est à la convenance de chacun !). que l'inspiration ne leur fasse pas défaut (un livre c'est bien, mais deux c'est mieux..). et que l'angoisse de la page blanche ne les saisisse

Ecrire un livre c'est bien... qu'il soit lu c'est mieux. mais comme c'est rare d'écrire un best seller dont toutes les télévisions parlent, la seconde difficulté de l'auteur (après celle d'avoir été publié bien sûr), est la distribution... c'est une découverte pour moi. naïvement, je pensais que l'auteur se cachait derrière sa plume et

Plus de 700 livres publiés en à peine quelques jours, des journalistes qui se déchaînent, des éditeurs qui essaient de tirer leur épingle du jeu et au milieu, des auteurs noyés dans ce flot de critiques. la rentrée, qu’elle soit littéraire ou non, a toujours eu pour moi l’odeur du papier neuf et de l’encre fraîche. cette excitation

Petite séquence nostalgie, avec cette interview faite sur le festival du livre de saint-quentin en mai 2010, mais qui vient seulement d'être mise en ligne sur dailymotion ! c'est ça aussi le temps de la littérature, une certaine notion de l'intemporalité... les livres se doivent de prendre leur temps, de prendre leurs aises et les festivals r

Sortir un roman, c'est bien. mais se revendiquer comme un écrivain, c'est autre chose... les mois passent depuis l'apparition en librairie de mon premier ouvrage et je m'aperçois que je suis atteinte du complexe de l'imposteur. des lecteurs m'écrivent et me parlent d'une histoire que j'ai bien écrite et qui pourtant ne m'appartient plus vraimen

Quand j'ai annoncé à mes amis que j'allais sortir un roman, ils m'ont regardé avec un petit sourire angoissé et m'ont demandé d'un air faussement décontracté : "on est dedans ?" le soulagement a été immédiat, car je ne fais pas partie de ces auteurs qui piochent allégrement dans leur vie privée pour bâtir leurs histoires et faire vivre

Après un premier roman qui a plutôt bien marché (à sa petite échelle !), comment éviter l'angoisse de la page blanche ? et s'il suffisait de se laisser déborder par le quotidien et de trouver toutes les excuses possibles pour ne pas reprendre la plume... petite liste non exhaustive : 1/ j'ai encore beaucoup de travaux et de bricolage à fair

La communauté "littérature au féminin" accueille quelques jeunes écrivaines dont laëtitia déprez. j'ai lu son premier roman que j'ai dévoré de la première à la dernière page et en ai profité pour lui poser quelques questions. "dominique jeune secrétaire joyeuse et gourmande, essaie de profiter de la vie. son boulot ne la passionne pas

Il y a des rencontres qui ne s'oublient pas... de petits moments fugaces, des sourires, des mots échangés, une connivence évidente ! les salons sont un vivier de ces petites parenthèses humaines et humanistes dont je me délecte. des échanges avec des gens que l'on ne recroisera peut-être jamais. mais cela fait aussi partie de la beauté de c

Proxinews.com : même s’il ne peut pas se résumer qu’à cela, votre ouvrage traite de la schizophrénie. c’est un combat qui vous tient à cœur ou simplement le postula de départ d’un thriller psychologique ? c’est une maladie qui ne me touche pas de près, mais qui m’a toujours fascinée. plus je lisais et plus je me renseignais sur