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Djarmouni Fateh

Djarmouni Fateh

J'aime beaucoup la lecture. Très intéressé par l'analyse narratologique des romans contemporains et post-contemporains.

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Lectures et écritures

Nous essayons de donner à travers nos lectures une part de rêve à ceux qui trouvent que la vie manque de couleurs.
Djarmouni Fateh Djarmouni Fateh
Articles : 21
Depuis : 21/04/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

J'ai vu hier

J’ai vu hier le ciel, aux portes de la nuit, Il remuait ses peines pour mieux chasser l’oubli. J’ai vu un homme trainer, son lourd fardeau de rêve, Il semblait malheureux, tout le monde voulait qu’il crève. J’ai vu une femme sourire, en fermant les yeux, Les genoux écorchés, à implorer les cieux. J’ai vu la mer charmer, des millier

Le poète

N’est pas poète qui veut l’être, A lancer aux quatre vents, Des rimes perdues et du mètre, Souffler du rythme et du chant. Il faut semer dans les cœurs, Les plants futurs de la vie, De la passion et du bonheur, Là où le temps a sévi. Pour chaque vers que l’on donne, Que l’on écrit et qu’on fredonne, On se doit de le marquer, Dans

Sacré Algérien !

Et finalement, l'Algérien est plus futé qu'il ne le laisse paraître ! Il continue son petit bonhomme de chemin avec une sérénité à toute épreuve. A tous ceux qui lui ont prédit un 17 septembre des plus tourmentés, il leur a offert une journée des plus paisibles. Pour une journée qui s’annonçait déjà très chaude, certains nourrissa

J'attends le bus

Je vais vous raconter une blague que l'on m'a raconté tout à l'heure en prenant le thé et qui va peut être vous plaire. ( ceci est une adaptation bien sûr) Un homme de sexe masculin, très réputé dans son quartier de taper fort lorsqu'il n'est pas caressé dans le sens du poil, se voit un jour interpellé par sa belle femme. - J'ai besoin d'

Le soleil s'en va

Pourquoi cet acharnement, qu’ai-je fait au ciel ? Jamais de répit dans ce monde cruel. La souffrance me guette dans chacun de mes pas, Le mal est présent, partout où l’on va. Il n’est pire vie que celle que je mène, Mes jours sont chargés de peines et de haines. J’ai mordu les lois, J’ai couru de joie, Personne ne m’écoute, on n

Ma fontaine!

Que c’est beau l’amour, lorsqu’on est à deux ! Que c’est beau le ciel, lorsqu’on le voit bleu ! Que la musique m’entraine, Vers je ne sais quelle fontaine, Je resterai fidèle toujours à ton eau. Ma petite princesse, loin de tout oubli, J’étais et je le reste cet homme asservi, Au service d’un cœur saigné et meurtri. Qui rêve

Il faut rêver

J’ai pris ce soir un peu de vent, Un peu d’amour, un peu de temps. J’ai regardé ici et là, Mais je n’ai vu aucun amant. Seul ton sourire, seul ton visage, Me disent des choses que j’envisage. Ils chantent l’amour qui m’envahit, Ils fêtent la joie toute cette nuit. Il faut rêver, il faut songer, A crucifier nos petits soucis. L’a

Le roman de la réconciliation

Toute révolution a ses poètes qui la chantent, la glorifient et l’inscrivent dans l’histoire. Souvent, ils s’appuient sur des faits aussi clairs que le jour et que certains voudraient voir mourir dans la nuit pour donner forme à leurs créations. Nombreux sont les écrivains algériens d’expression française qui nous ont ému à travers

La grosse arnaque du 17 septembre (Bis)

Il est indéniable que M. Kamel Daoud, en bon moralisateur de son époque ne ménage aucun effort pour porter la conscience collective au plus haut sommet de la maturité politique. On ne peut sous aucun prétexte porter atteinte à son algérianité. Ce n'est pas parce qu'il publie des articles politiques dans une revue littéraire française "la

La littérarité

Une grande hésitation se dessine quand il s’agit de définir le concept de « littérarité ». Cette hésitation varie selon les écoles et les tendances. Mais il n’en demeure pas moins que le « texte » reste l’unité de base de toute réflexion se rapportant à la littérarité. Dans le Dictionnaire de la linguistique, édité par George