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Tevy-4562

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Je ne supporte plus toutes les aberrations que la télé, les magazines nous servent chaque jour. Mon blog est un coup de gueule sur les médias qui veulent nous aliéner. De l'état qui nous ment chaque jour. Ca m’énerve……
Tags associés : coup de gueule, poesie

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Le blog de fraydu.over-blog.com

coup de gueule contre tout ce qui énerve dans la vie courante.
Tevy-4562 Tevy-4562
Articles : 20
Depuis : 17/01/2011
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

L'ombre

Ton ombre est couleur de pluie, De mes regrets, du temps qui passe, Ton ombre se perd dans la nuit. Elle disparaît, mais repasse. Dans le vent froid, tant de mystère, Je me retourne avant d’entrer J’ai peur, je perds mes repères, Et l’ombre reste dehors, à me guetter. Ton ombre est toujours à la porte ; Quand je m’en vais, elle me suit

Désirs d'hiver.

Toujours la pluie à l’horizon ! Toujours la neige sur les grèves ! Tandis qu’au seuil clos de mes rêves, Mes démons sont la punition. Je pleure mes lèvres gercées Où les baisers sont passés, Et les désirs abandonnés Sous les tristesses moissonnées. Observe mon âme lasse, Mes yeux ternis par le passé, Tout l’amour autrefois versé

Toi et moi

J’adore la douceur de ta peau sous mes doigts, j’aime tant la saveur de ton corps sous ma bouche gourmande, ton odeur me transporte quand tu me fais l’amour. Que dire du plaisir de voir ton corps onduler contre le mien, de le voir se cambrer sous les assauts de mes caresses. Mais enfin, ce qui m’excite le plus, c’est de t’entendre. D’

Requiem

Que les ténèbres m’ont envahie Et plongée dans la nuit, J'ai perdu raison et vie. Dans les limbes de ma folie, Tel un fantôme sans esprit J’erre, divague à l’infini, Spectre de mélancolie. Dans les méandres de mon cerveau Tel un fantôme, hors de son caveau, Je flotte, emportant mon fardeau De rancunes, réduites en lambeau. À travers

Doucement

Doucement, je me suis lovée Contre toi, ma tête sur ton épaule. Ta main délicatement me cajole, Caresse mes cheveux dorés. Puis ton souffle se fait plus rapide, Ta main, sur moi, plus pressante, Tes caresses plus précises, insistantes, Nos deux bouches se mêlent, avides. Nos corps s’enchevêtrent, basculent, Se confondent pour ne faire qu

La chute des feuilles

De la dépouille de nos bois L’automne avait jonché la terre ; Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste, et mourant à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans : « Bois que j’aime, adieu, je succombe ; Votre deuil, me prédit mon sort, Et dans chaque feu

La nuit toutes les roses sont noires

Toutes les roses sont noires, sans espoirs, Mes souvenirs, alourdis par la tristesse, le soir, Cheminent, en marche funèbre serrée par le chagrin L’ombre laisse place à la brume au petit matin. J’ai rêvés tes bras si longtemps, des nuits entières, L’impossible, le malheur se rit de nos galères. Je suis si triste de ton absence, seule s

Rouge et Noir

Rouge est le sang qui coule dans mes veines. Noir, immense nuit d’ombre, lune absente. Rouge la fleur sève sur mes lèvres, saigne. Noir est mon cœur, avalanche de tourmente. Noir, immense nuit d’ombre, lune absente. Rouge comme tes flots amers, mélancolie. Noir est mon cœur, avalanche de tourmente. Rouge, l‘image du bonheur flotte, flét

Spleen

Quand tout est noir autour de moi, j’ouvre lentement les volets clos, pour percevoir la lumière. Mais, dehors des nuages gris, forment un ciel bas, lourd, et ils me versent un jour plus triste que mes nuits amères. La terre gémit son ennui au ciel en pleurs, qui étale en immenses trainées, des barreaux de pluie. Soudain dans un affreux hurle

Enfants martyrs.

L’avez-vous vu ? Il portait son enfant dans les bras Il filait comme le vent La tête haute, le dos droit… Comme l’enfant aurait été fier et heureux D’être dans les bras d’un tel père S’il avait été vivant… Des enfants sont en train de mourir Pour changer la vie des enfants à venir… Leurs cris font tant de silence. Si tes bal