On en a déjà beaucoup parlé. Dans la presse Metal évidemment mais aussi dans de grands magazines tels que le Wall Street Journal, ce livre, écrit par Michael Moynihan et Didrick Soderland, propose tout simplement de replonger dans l’enfer du nord, au moment où Black Metal semblait rimer avec criminalité. Dans les années 90, les pays les p

S’il y a une chose qui reste indéniable en ce monde en proie aux doutes, c’est bien la qualité de la scène Metal extrême française. Cependant, si ses toutes ses branches ne sont pas forcément représentées (ou n’ont pas du moins une certaine visibilité), force est d’admettre que malgré la disparition récente d’un certain nombre

Behemoth est un groupe Polonais qui, au fil des ans, a réussi à se tailler une réputation sur la scène Metal internationale et cela peut s’expliquer par plusieurs facteurs. Il y a déjà le perfectionnisme de son leader, Nergal qui l’a mené à créer une musique unique (et accompagnée d’une imagerie facilement reconaissable) et difficil

En 1986, Slayer sortait l’impétueuse coquinerie qu’était Reign In Blood, considéré à l’époque comme l’album le plus violent existant ! Ceux qui n’étaient pas là à l’époque (moi compris) ne peuvent sans doute pas s’imaginer ce que l’on pouvait ressentir à l’écoute de cet album culte, à sa sortie. Les années passèrent

La locomotive (Paris), le 17 février 2008, dans la soirée... Behemoth joue devant plus de 800 personnes. Après une Intro et 4 morceaux, alors que le superbe « Conquer All » se profile à l’horizon. Nergal annonce devant tous que les parisiens ont une place spéciale dans leur cœur et que toutes les caméras présentes servent à filmer le c

Des blast-beats à 200bpm, des riffs dont les accords sont basés sur ceux d’un Black Sabbath ou d’un Slayer mais dont les notes semblent êtres crachées telles les balles d’une mitrailleuse, la distorsion à fond et une des cris donnant l’impression d’un vocaliste enragé... le Black Metal Brutal, vous connaissez ? L’un des principaux

Encore aujourd’hui, le true norvegian black metal a ses admirateurs et ses suiveurs. Si l’apogée de ce style se situe sans aucun doute au début des années 90, il y a encore aujourd’hui de jeunes formations qui naissent pour tracer leur route au moyen de cet art noir. Throne of Katarsis en fait partie. Inspiré par les dieux d’antan, et p

Ah! Anaal Nathrakh, un nom synonyme de l'apocalypse, une réputation infernale les précèdes mais qu'en est-il vraiment pour moi qui avant «In the Constellation of the Black Widow" n'avais jamais entendu un seul de leurs disques, voir un seul de leurs morceaux? Je découvre donc le souffle du serpent avec cet album. L'aventure commence avec le ti

Behemoth, c’était ce groupe de Black Metal Polonais au milieu des années 90 qui était doté d’un potentiel indéniable mais qui lentement, intégra à sa musique des touches Death, transformant ainsi des classiques comme « Pure Evil and Hate », « From the Pagan Vastlands » ou « Sventivith Storming Near The Baltic », jusqu’à définit

Kampfar. Un nom, une légende. Venu des contrées norvégiennes surpeuplées de ces hordes de néo-viking et satanistes aux guitares accérés, cette formation a réussit à se tailler une place de choix sur la scène Black Metal de leur pays, mais aussi internationale. Inutile de dire que de la découverte de "Mare", j'attendais une pomme succulen