Fer de lance d’une campagne présidentielle gagnante en 2012, la formule semble aujourd’hui quelque peu éculée, en politique du moins. Sinon nul besoin d’être énarque pour savoir que le changement c’est maintenant, le changement c’est la vie, c’est l’essence de la vie. Tout dans l’univers change en permanence, inexorablement . N

L’article 14 de la loi du 17 Juin 1998 définit le bizutage de la façon suivante : « Le fait pour une personne, d’amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants lors de manifestations, ou de réunions liées aux milieux scolaires et socio-éducatifs ». La rentrée scolaire frappe à nos po

La formule est bien connue : employée à l’envi pour désigner une personne qui raille autrui pour un défaut qu’elle partage largement avec l’autre, le raisonnement peut être prolongé par cette autre formule « voir la paille dans l’œil de son voisin mais pas la poutre dans le sien ». Tout cela semble frappé du sceau du bon sens popu

Celles et ceux qui auront fréquenté les bancs de l’école à la même époque que moi, il y a plus d’un demi-siècle, se souviendront probablement de cette petite histoire : « Zéro + zéro = la tête à Toto ». Voyons-voir tout ça : un premier cercle de petite taille pour le premier zéro, le signe « + » à droite du premier cercle mais

Si tant est que l’on accorde un quelconque crédit au concept d’ Â me, comment une chose qui serait par nature immatérielle pourrait être rayée comme un vulgaire vinyle, longtemps remisé aux caves, greniers et autres lieux d’oubli ? Les rayures de l’ Â me, autre conséquence de ce que le politiquement correct désigne sous le vocable

Un an et un jour depuis le début du premier confinement. Stop ou encore ? Je ne sais pas. Nous sommes le 18 Mars et il est un peu tard pour vous souhaiter la Bonne Année. Aurais-je pris un mauvais pli , celui de la paresse ou de l’indifférence ? Je ne sais pas non plus. Le silence est parfois le seul chemin possible. Mais, ça doit être la pr

Alors qu’Août bascule dans sa seconde moitié, alors que la rentrée n’est plus qu’à quelques encablures ou à quelques jours de « quarantine » réduite à quatorze pour nos amis brexiters, que retiendrons-nous de cet étrange été ? Acclamée par certains-es comme un improbable messie, la crise du coronavirus et ses prolongements n’on

Alors que dans la plupart des établissements bancaires et autres lieux supposés de cash, des panonceaux avertissent le quidam que guichetiers et guichetières ne détiennent pas d’espèces, l’expression n’a pas pris une ride. Adieu les bons vieux braquages à la Butch Cassidy ou encore à la bande à Bonnot pour la French touch. Nous sommes

Je ne vais pas vous parler des Etats-Unis des années 30 et de Roosevelt, ni même de Donald et Melania qui viennent de tester positifs à la maladie en vogue. Suffisant pour écarter Donald de la course à la Maison Blanche. Pas sûr. Le méchant virus se propagerait à nouveau de façon excessive dans l’hexagone et même au-delà. Ennuyeux. Le

ZMO, je vous l’accorde, c’est un sigle un peu bizarre, pas très connu, même pas un acronyme. En apparence, pas de quoi redonner des couleurs à un été qui s’effiloche vers une rentrée incertaine. Pourtant, dans ces trois lettres et leur ordonnancement spécifique est contenu tout l’avenir du monde, tout l’avenir de notre monde. ZMO o