Les jours à l’arrache Passés comme des trains de nuit Le voyageur immobile où je suis Perdu sur le quai de ma vie Peu importe le temps qui s’entasse La mort qui flaire ma peau Les souvenirs demain matin L’avenir dans le dos Il y a toujours le soleil Derrière les nuages là-bas Les merveilleux oiseaux Et le vent qui s’efface C’est la v
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08/11/2007
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Tu as raison, il faut cesser d’écrire pour ne rien dire. Depuis des mois, j’écris peu : on ne comprend pas mon écriture et je ne comprends rien de ce qu’on m’écrit. Le chien sait trouver partout des poubelles : les gens consomment énormément de poulet froid ! C’est une chance d’être ici quand il fait chaud et bleu et j’aime ass
Je ne parlais pas à mon père. Il ne me parlait pas. Tout de même, j’ai gardé le souvenir de quelques rares moments où il s’est adressé à moi. Mais je ne me souviens d’aucune véritable conversation entre nous. Mon père était ni tendre, ni dur avec moi. Ni proche, ni distant. Mais il était doux, ne m’a jamais frappé; il me regarda
Régime ? Voici quelques trucs ! faire l’amour 3 fois par jour minimum – n’en sauter aucun éviter le barbotage ou alors barboter intelligemment avec une collation d’eau de mer accorder une large place à l’ivresse, consommer plus souvent des douceurs occultes miser sur les équivalences : sexe = plaisir = jouissance. Les produits de beau
17 Novembre 2010 A Veauche, où je ne suis plus retourné depuis... 35 ans ! Il n’y a plus cet espace et ce temps, entre les choses et les gens, les arbres et la terre, les maisons et les murs, entre le ciel et le bitume, entre la lumière et la nuit. Les voitures ne passent plus, elles roulent devant. Les trains ne passent plus, non plus. Les hu
La mer est un parfum que la marée marine. Il n’y a pas de fumée sans queue. Les lendemains qui chantent me tuent. Il faut savoir faire son ennui. Les cons méritent souvent qu’on leur tire la langue. Dans le foutre je m’abstiens. Rêver c’est déserter la nuit. Je ne crie pas plus sur le dos. Des pieds et des mains c’est trop. Plus je v
Il est un peu tard pour faire semblant de dormir trop Ni vrai rythme, ni phorisme Le désir me retourne comme une crèpe au stupre J’ai collé ma libido sur ma jambe en l’air Je n’aurais plus jamais peur des clous fantômes Inutile d’insister légèrement
Lennon est mort ce soir Tué par sa guitare Ou par un révolver à capsules Dernier petit écho de la presse Pour un héros de la classe ouvrière Imagine le bruit que ça fait Lucie dans le ciel épinglée Tout le pouvoir est au peuple Définitivement.