" fusionner reggae et metal est une chose difficile, mais skindred n’a pas abandonné son filon depuis son premier effort. il nous livre ainsi une meilleure alchimie qu’auparavant avec des titres ayant un sens mélodique qu’on cherchait en vain dans babylon. ensuite la formule reste la même avec plus de pêche et plus de voix aux vibrations

"après un album qui les a vu au top de leur originalité et de leur puissance (eau), une nuit pour sept jours, dont le titre sonne comme un conte des milles et une nuit, tient davantage en équilibre entre des titres gonflés d’adrénaline et des morceaux plus aérés. l’esprit général n’en ai pas altéré, sidilarsen injecte toujours auta

" quatre année d’absence aura marqué le nouvel album de slipknot comme un opus attendu. force est de constater que le côté sauvage du groupe s’est érodé avec le temps au profit d’influences liées au side-project de corey taylor. ainsi certains titres (dead memories, snuff) auraient d’avantage leur place dans stone sour, d’autres so

" après glaube, liebe, tod, oomph! n’a pas fini d’épuiser les thèmes chocs tant dans son apparat auditif que dans ses clips. attaquant la pédophilie dans le même angle dévoilé par le récent film de david slade (hard candy), le premier single du groupe beim ersten mal tut’s immer weh révéle une musique aussi puissante que le poids de

"shinedown n’a pas de limite dans ses influences et fait du rock au sens large du terme si bien qu’en les découvrant vous entendrez ici et là des horizons musicales lointains se rejoindre dans leur propre interprétation de la musique. des incontournables titres motivants les flammes de l’enfer à venir dans la danse (devour, the sound of m

"c’est à l’aube d’halloween que nous arrive nightmare revisited dans les bacs. la bo de nightmare before christmas, le classique d’animation de tim burton, se voit réinterprétée par divers artistes. si certains sont nés pour ce genre d’expérience (marylyn manson – this is halloween, korn – kidnap the sandy claws), il y a aussi d

"the way of all flesh révèle gojira plus fort que jamais. techniquement irréprochable, son flot est devenu plus dense que par le passé. ainsi les guitares sont plus que jamais cavalières (esoteric surgery) et ravive l’étincelle de vie dans l’apocalypse (the art of dying). mais c’est aussi dans cette force que le bât blesse pusique goji

" head a fait le point dans sa « tête ». entre heavy metal et dieu, il a choisi sa voie, et celle-ci n’exclut ni l’un ni l’autre ! le metal l’habite et c’est ce qu’il sait faire de mieux et rien ne peut le faire changer sur ce point, même la rencontre de dieu ! mais si head a trouvé dieu dans son cœur, c’est pour mieux dénoncer

" st. anger ayant fait beaucoup de bruit il y a cinq an à cause du son (est-ce du metallica ?, où sont les soli de guitares ?, qui c’est ce nouveau bassiste ?), et bien aujourd’hui death magnetic fait également beaucoup du bruit à cause du son (c’est bien du metallica, plein de soli de guitares, le nouveau bassiste c’est trujillo !), au

"the sick’s sense apporte une touche de sensibilité dans un milieu metal parfois trop pur et dur. ici la musique n’est pas science mais alchimie impossible entre des instruments électriques aux tendances heavy, un chant fort aux sensibilités gothiques et des mélodies singulières. chaque titre est émouvant et pourtant fort dans sa façon