/idata%2F2189355%2F%2FPhoto-364.jpg)
Le lac ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour ? ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, et près des flots chéris qu'elle devait revoir, regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre où tu la vis s'asse