ENTRETIEN AVEC CLAUDE SOLOY Après sa chronique sur le roman de Claude Soloy, publié aux éditions Krakoen « Les algues mortes », Cassiopée a demandé à Claude Soloy s’il acceptait le principe d’un entretien. Le résultat que nous vous présentons ici est une réflexion d’une grande force, d’une exceptionnelle densité sur l’écritur
Claude Soloy
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30/06/2009
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Littérature, BD & Poésie
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Un pigeon baladeur s’est perdu, en panne d’horizon, à cause de ce satané changement d’horaire. L’homme est assis sur un banc de bois du jardin municipal. Manquent trois lattes. Et son cul de chaque côté de l’absence, comme deux ailes. Sur la pelouse, une pigeonnaille de gouttière s’épouille le cul et rêve de suppositoires tropica
Roman achevé Roman introuvable C’est la fête dans le restaurant chinois: une vingtaine d’artistes, des peintres, des photographes, des sculpteurs, compagnons et autres… se sont regroupés autour de Michèle Destarac, plasticienne internationale (New York, Norvège, Centre Pompidou de Paris…) invitée d’honneur pour cette 83ième exposit
ETEIGNEZ MES YEUX Une chronique de Cassiopée Sur la corde raide …. Tout au long de ce roman, l’écriture de Claude Soloy oscille entre … Entre quoi et quoi ? Oh, non, il n’y a pas que deux choix, ce serait trop peu pour un joueur de mots, un passionné de la déstabilisation, un remueur de sens, un poète qui cache son âme sous une «couv
Blanche traversée C’est une fêlure blanche où bat l’aile du désir, celui d’une traversée fébrile qu’accompagnent des chants de femmes. C’est un voyage dont le quai est déjà une invitation, celle d’une promenade non guidée où chaque pas est le bienvenu dès lors qu’il n’en force la fleur à courber le pétale. C’est une a
TROUVILLE SUR LIVRE, ça pleut… 13 NOV 2010 Accueil sympa, cocktail au cidre et au jus d’orange au premier étage de la mairie ; puis super repas dans un bistrot dont j’ai oublié le nom, un lieu convivial, suffit de demander à l’autochtone… La mer roule ses épaules de sable sous la pluie battante, les machines à euros roulent des méc
Mécanique rimbaldienne Claude Soloy I On est si sérieux quand on a le temps… Tel matin, ras le bol des nounous, du lait chaud, Des gazinières aux cuivres étincelants ! On va sous le grand phare barbotant dans l'eau. Le gâteau sec s'éparpille sous la molaire. Le vent est si glouton qu'il vous en prend deux miettes ; Les dents de l'eau, leur