Mai, douceur fleurie, s'en vient gracieusement Protégé sous l'élytre des temps aux vents régénérés. Ma parole donnée à l’éther de nuages brodés Ces recueils de soleils auprès desquels mon esprit ne dément. Hélas la fraîche saison comme un traineau en mon âme Ourle un châle de larmes qu'a cousu sa tempête en hiver roi, Puis tous

mon cœur est un hiver de glace à cette heure et glisse ma peine ensanglantant son épaisse nuit … aujourd'hui la tristesse s'est assise dans ma demeure bleues sont mes mains sur le linceul de sa vie … Je t'aimais tant … *Tous droits réservés* Copyright

Du silence tout me vient, Comme étouffée dans la mousse ,mon empreinte se souvient, Mais seule, sa présence étreint ma vie, Tant en moi, la passion pousse et s’amplifie. De la chaleur de mes maux prisonniers, En fumée s’évapore ma peau enivrée, Et de mes cendres douces en volatiles poussières S’éparpilleront les mots en mille voix ch

Orpheline de ses sens au sol du silence bouillonant, ma peau s'impatiente à genoux devant sa nuit lavée de tout … Otage de ses jours au matin de mes atours, sa main trace la voie devant ma solitude brûlée d'émois … Et ,ce que cache sa langue timide mon corps le dit limpide … Pleurs de mon cœur ... Pieds nus au lit de ses larmes à la ru

Sur le long chemin de la vie, on aime, on travaille, on rit, Et parfois sur ce chemin survient une incurable maladie. Au départ, on nie, puis on est en colère et on crie. Pourquoi les pages de notre histoire se changent-elles ainsi en tragédie ? On cherche un moyen de négocier le retour à la santé, On est dépressif, et on finit par se résig

Il était là assis au bord du sensible ... Il était las frôlé par un vent inaudible ... Pupilles dilatées en constat , frissons parcourant un peu de "soi't", son esprit égarant la mémoire au plus bas les pieds glissant vers ce vide en émoi ... Un écho soudain retentit ! Le cri du temps ! Le chant du silence punit , blessé par la voie de s

Revivent les perles sucrées Au détour de tes grands yeux chagrinés Pour ruisseler en une onde égarée Cicatrisant la tristesse d’un sourire déguisé. Cendrent les maux du fond de tes joues creuses sans fin de tes épaules jusqu'aux genoux repliés, nerveuse Pour détruire des versets lestés de leur pâleur, en silence verse ton âme et cach

Je ne cesserai donc de chanter la cambrure de ses reins où mes mains insoumises recherchent en leur creux l'union … Volupté éclaboussée dans la chaleur de son sein . Et quand nos cœurs se sont sentis Nos yeux et nos corps se sont compris … Je ne cesserai donc de glisser le frisson sur ses cuisses moites où mes lèvres gloutonnes pressent

Il vogue en miroir sur les flots, Fait l’amour délicieusement à l’eau, Engendre en pétillantes paillettes, Lui donne un baiser en houle muette. Dans un écrin d'amour … Elle sent la chaleur de son souffle, Grignoter par une envie se camouffle, Sous une Aurore ,équivoque et sourde, la mer Danse un léger « rocking » dans les airs. Dans u

Touchée par tes mots Touchée par tes mains Unis … Par nos maux Unis … Même au loin … Ton regard qui me susurre, Me guide c’est certain Vers le chemin de ton azur Un tremplin vers demain … Ton souffle telle une armure Caresse ma bouche avec finesse Savoure en clair obscur Et signe de promesses … Ton empreinte sur ma peau S’étreint