Assise Vétue de bleu nuit sur un clavier amoché. Qui n'a plus d'idée, qui plus est! Sentence qui tombe comme une fulgurance D'un espace du ciel entrouvert. Juste un instant d'absence. Et alors tu t'étonnes encore de ma présence ! Mais ne sais-tu pas que l'amour a toute la place, partout ,toujours? Alors encore, ouvre et sinon entrouve. Laisse

Improviser .Cela ne se travaille pas. Etre puriste en la matière. Et fondre sous le grain de ta peau... Travailler les virgules . Et mentir aux autres sur la qualité intrinsèque de l'effet placebo... Deux textes côte à côte . Et entendre l'incompréhension chuchotée sur mon passage... Ciseler la langue même. En faire un texte orfèvré. Off

Il y a longtemps.... Ecrire, décrier, crier décrire,raconter aussi Alors sur les pas déposés vêtus de bleu Roy ,elle! Elle continue à avancer sans repère. Libérée des marques, des bornes ,en roue libre Manivelle à la main elle décrit des cercles dans le sable ... C'est bateau...mais elle Elle s'en moque,s'en fout aussi. Partir et voguer

Juste un pas de plus... Le rêve s'achève sur une inspiration arrêtée. Je me réveille comme la belle au bois dormant,d'un long sommeil. Chaque jour endormie un peu encore. Ne pas se réveillée,encore un peu anesthésiée. juste un peu. Chaque jour encore un peu. Ne pas quitter, ne pas laisser, ne pas avancer pour ne pas perdre. Et puis mes yeu

J'ai envie... Envie d'écrire Cela fait longtemps. Des images de Tour, de Chariot et d'Impératrice se mêlent et s'entremêlent... Carrefour des astres planétaires. Quelle joie et jouissance de respirer plus haut, juste pour s'exhaler comme on exhale un parfum rare et précieux. Sur les pas d'une danseuse mémorielle les mots s'alignent comme sur

L'impératif...s'écrire...là, impérativement maintenant. Des points de suspension pour suspendre le temps. Se pendre, se dépendre clin d'oeil au Pendu. Douze et trois 15, alors le Diable se pointe, l'air de rien. Mais il n'est pas à l'ordre du jour...Pas encore. S'écrier la brave femme sur le bord du trottoir, face à l'horloge immense du cou

Ecrire à l'infini,et finir par dire ce qu'il y a à dire. Simple mais pas comme bonjour.Je lui en ai parlé, juste au moment où il s'en allait et il disait déjà bonsoir,Lui Le jour n'avait pas encore commencé. C'était drole, dans le sens que je préfère, qui est celui d'inhabituel quelque chose ainsi! Et pas comme cela. D'ailleurs, comment

Des fleurs, et des roses couleurs Des mots qui s'entremêlent aux larmes insoupçonnables qui coulent à l'intérieur. Debout et pourtant couchée sur du papier calque. Impressionnée ,dupliquée et sortie du cadre de la photo inaugurant des fiançailes nouvelles... des mots sans suite ni détour , juste posés là pour marquer, tracer, existence e

Ciseler, Infiniment les mots que tu as déposés le soir de ton départ. De la même façon que tu as crée cette larme parfaite qui a jailli de tes yeux. Pourquoi mes mots à moi, n'ont pas cette préciosité de l'or vivant qui coule ... Ciseler, délicatement, Imprégner ,inscrire dans le marbre rose la douceur de ton regard. Aller chercher, dén