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Gallagher(es)

Gallagher(es)

Être soi, c'est être fou... qui peut dire le contraire?

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Gallagher(es) Gallagher(es)
Articles : 17
Depuis : 31/01/2010
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

inspiration

Entre veille et réveil j’ai imaginé et caressé ton dos me glissant sur toi comme une ombre j’ai écouté tes frissons et senti la valse mouvementée de ta peau J’ai surmonté ta colonne dont le creux invitant appelait ma bouche et criait mon nom Sans ma censure incapacitante je t’ai fait voyager au hasard de nos cœurs J’ai fait escale

Muette

C'était un matin peu ordinaire Une nuit envahie par la douleur humide, fugace, mais, oh combien, incontournable Au loin la voix de ma fille le visage de mon fils la peau de mon amour beaucoup trop loin pour que je les apperçoivent Ma gorge, mon coeur, ma peau couvert d'un cercueuil de bave ma présence muette survivre maintenant est-ce brave? Pen

Naître femme

8 mars 2009 : Naître femme Je suis née femme Est-ce que c’est une circonstance? Car avant de naître j’avais toute une histoire et un destin Je suis née femme Dois-je le prononcer? Dois-je l’avouer? J’avais la lutte soufflant tout mes moments Capturée par la vie d’une condition dite féminine J’avais en moi le sceau de plusieurs sec

Un coeur qui brûle

Lorsqu'un coeur brûle une main de sable glisse sur nous en ardente tragédie suivant le parcours de nos vies Triste et grave est le temps où la pluie vagabonde en petites brisures tremblantes de souvenirs intuitifs Intense est le don de la mémoire la saveur, l'odeur de l'amour y est plus intense que l'image la peau en garde la trace Les bons mom

Ton simple regard

Un temple se dessine sur mes falaises nues D’une simple envolée qui, de peine, quitte le sol tu prends des élans démesurés Effleurant ta côte du coin de mon oeil tremblements t’ont pris dans les jambes et les bras Ravie de ta candeur je me sentais divine et mes doigts s’agitaient d’impatience Me posant sur une vallée je me suis abreuv

En dedans

Fugace et absolue densité de ce crâne entrouvert et las perfides souvenirs qui se boit Mordre un neurone pour qu'il sécoule en soi laissant en bave et à genou Jadis disposé à se fondre dans l'intensité falcifiée le coeur roulant sur la pavé Jeunesse s'étiole hors de soi le temps ne fait que tracer les bonheurs méconnus Capitale annoncée

Ma faille

(inspiré de Michel Foucault) Dans nos vies des instants, des moments nous transformant, nous modelant, nous cassant sont à jamais inscrits en nous Perçevons son image sur les plis du visage au creux du ventre de la mer dans chaque replis de notre parraître Lorsque fatal, un pli prends des allures démesurées transportant avec lui la terreur ba

Carré rouge, pour Jojo

Le temps de la culture libre est révolu sous un amas de ferrailles une lampe faible allume les entrailles Sur le pavé craquelé aux vertes rainures des bouts de cervelles crachent encore des mots que le spectateur lèche à quatre pattes Des milliers de pas un par dessus l'autre usent nos pensées scandent la dignité mijotant doucement, nonchala

La cayenne

Une mer immense qui dans mon inconscience étendait sur mon sourire goémon, étoiles, roches des tempêtes dont je me gorgeais Je cherche au sol au dessus du sable des cailloux blancs, bruns, verts des coquillages d’un bleu intense dans le hasard de moi-même L’autre rive n’est pas encore visible la marrée haute gonfle la mer elle est en mo

Magie

Une magie entre nous s’interpose Parfait mirage, parfaite image sur un sable ficelé et chaud Au dessus de moi je sens tes pas et mes yeux s’ouvre sur ton visage qui enrobe mes seins de câlins indomptables Refais moi ton image sous cette cape ou j’implose : Noire essence de la nuit quand les ardeurs se réclament Sur cette plage isolée Je t