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Le blog de noussommestousartiste

poeme et texte en tout genre
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Articles : 16
Depuis : 17/04/2012
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

doute

Passerelle avancée Resurgir lors de l'été Mais déjà le printemps Et puis le vent Alors que transit lors de l'hiver S’éclairent les réverbère Toutes ces oranges bleues et noires Tout ces orages de feu à voire Avançant doucement vers le palier Reste tant de chose a essayer et rugir un bien drôle d'aire sans rime la prose transit. Et dans

kermit et kapov

un son, si silence seulement sale, si ce son semblait si saint c'est simple.... https://www.youtube.com/watch?v=zr2KesVFiGU

rotule

tout avertis de la houle qui, tout azur la mouette s'élance sous les raillerie elle plane et s'endore s'envoute sans couleur et le blanc des nuages s'extase dès sa premiere phrase carrosse esseulé, embuché le rat plonge sans un sens assis sur planche étanche, un caillou chut alors il pleure d'être si seul perdu sans rien.

le depart (2)

Ce ne fut que plusieur jour plus tard que lines se decida a aller en ville, accompagner de Amande, sa compagne. Comme d'habitude elle courrait partout et s'ampusait a faire peur au enfant en leur criant dessus qu'un gros monstre allait les dévorer. Lines la regardait, Ho qu'il lui avait fallu du temps pour comprendre sa folie, mais vraiment, il va

Le roi

Le silence regne De part son grondement silencieux Et ses pièges malicieux Le silence regne Il revele en tout homme Un pouvoir plus puissant Que les images perdue qui ornent La somme des savants Seul face au silence L'ennui se mue en patience Et les reverie en permance Seul face au silence Et le miracle s'accomplit Et les nuages oranges murmurent

jeu de lettre.

Les ténèbres sont sales, mes viscères déraillent en tristesse et sans escale j'sais qu'il faut que j'men aille. Si seulement, si seulement les sages et les savants savaient, et suaient à senser la vie, mais ils s'unissent et salissent. Tant que ce sont des traces de crasses, je m'efface, je t'espace, et c'est dégueulasse. Je sombre sans un so

Un soleil se lève.

Cela faisait presque six heures. Six heures que les enfants se tenaient debout, le regard fixe, droit et tendus à attendre. Cela faisait presque six heures que le petit Alexandre avait répendut une large tache d'encre sur le sol et que l'inquisiteur avait annoncer la punition collective. Ses jambes lui faisait mal et une goûte de sueur glissant

pensée abstraite, filante comme une poussiere

Lorsque tu es las, si tu trouve le monde laid. Ferme les yeux. Ton monde sera alors vide et noir . Lorsque tes poumons saignent, lorsque le vent souffle ferme les yeux. Et lorsqu'il ne restera rien a voire Regarde de plus près, la lumière jaillira des ténèbres Et si rien ne se passe, Patiente, attend. Tandis que le temps t'attend. Dis : que la

alunir

Tes cros blancs me font saigner de la liqueur Mes chants blonds te font rêver ailleur Et l'oiseau chauve la-haut s'attend Petit bon pauvre et lattant Et ses chants, chanteur de divins On s'ennuis et saigne du vin Et attendre le bruit du latin Chante encore, Ô beau matin. Cacatoès et cacahuètes Noix de coco et du cola Allaité je lape encor Le d

1er jour

Le jour se levait, au petit matin lines prenait toujours le temps d'observer son terrain. Le long de ses vignes, grimpant le long des differentes collines dont il etait le proprietaire, les insectes commençait deja leur interminable chant, emplissant le silence de leur doux ronronnement. Il etait toujours le premier a se lever, le premier a se cou