Free dôme là où les colonnes viennent porté le ciel couvrant tous les délices en abondances: les nectars dorées, l'hydromel au goût de miel, chaque saveur qui font tourné les yeux aux sens. c'est la perle rare dans sa noire coquille, le blanc jardin que vient ceuillir mes mains: ô chimère j'aime me perdre en vos pupilles et laisser le dé

Ligne rouge froid frisson sur le passage d'une douce âme d'opinelle qui fait monter en parallèle le sang derrière mon blanc pelage. trait par trait au long du bras, le rouge prend sur le nacre chaque marque bat, aprés le sacre, la relance d'un plaisir en ébat. et il n'y a de vrai souffrance que ce serpent qui longe, lancinant comme un songe, m

Tu as juste à reculer l'aiguille par delà toutes les hautes mesures dont les croches ont fait leurs bavures sur le temps, toujours sur l'écran, un papier tiré entre le noir et le blanc; par delà l'infini fuite du temps qui en appel à la course contre les crans, horloge qui tape inlassable le tempo de son doigt frappant à chaque créneau, tu

Beauté cette éclatant bonheur rayonne au creux du sein de l'horreur lorsque les cloches crient et sonnent l'engrenage passé d'une nouvelle heure. rattrapes peut être cette poussière qui entre tes mains c'est trouvé arraché, jamais les secondes toutes entière ne se laisseront privé de leurs liberté. le choix t'échappe et te devance de gra

Cette nuit comme une vie cette nuit, comme une vie, dans cette chambre de soie et d'or, je profite du luxe de ce lit, froissant mes draps contre ton corps. pour le prix en billet vert que me coûte ce noble palai j'ai droit de voir ton corps offert tout une nuit absente de morphée. alors que les étoiles geignent dehors sur la tapisserie de voûte

Un ciel libre on me saupoudre d'or et l'on m'appelle aurore. on me saupoudre d'étoile sans bruit et l'on m'appelle nuit. on me saupoudre de rose et de soupir minuscules, et me voilà devenu crépuscule. ô temps des voiles ailés, je suis un ciel libéré! patte blanche

L'emporte coeur il pleut en cette annonce de l'aurore, et le lourd gris à déjà voilé l'or. c'est la toute l'envergure du décors d'une histoire tendre qui finit piétinée dehors: tu as rougit à la croisée des regards, ces sentiments qui attendait à la gare ont déjà pris la voiture du départ, qui doucement s'en vont loin en fanfare. la vi

Lâcher prise et je me souviens de chaque baiser qu'un jour la vie m'offrit mais malgré tout l'avenir entreprit a la lâcher ma main nacré. se tombe le corps désamparé dans un rire macabre qui paralyse, le poid d'une vie comme une cerise qui trop lourde est tombé. chutte longue, lente, infini qui voit la main lointaine s'éloigné au grés du

Spectres des départs maison, tu es bien monotone maintenant que tu as perdu ton mouvement. se chante les pas de spectres atones comme un passé qui s'éloigne lentement. toute cette agréable compagnie qui entre tes murs fit résonner les rires, les voix et les silences en symphonie; un instant où la maison devînt empire. soudaine soliture qui s

Spleenéidéale la forme que traverse mes sens jusqu'au coeur même de mon essence. je marche sur deux routes parallèles, complexe d'un corps n'ayant cesse de querelles. tiré de bord à bord, bateau tempête, de haut en bas, âme variant de quête. nous sommes d'une matière à forme spleenéidéale, reliés à l'ambivalence de nos joies et nos r