Pas l’arbre Mon art fait braaaaaaa Contre nos ennemis et corps pour les étoiles Comme canne rien ne voile mieux apaisé dans ces coussinets ! Il enroule à bras le corps les mots hésitants dans un arbre à dire et à crier, sans soupirs ni regrets : un arbre à rien de Tout A Tout de suite A suite à bagages où les idées empaquetées voyagent
Cri & Tics
Cri & Tics
libre, libre et surtout libre
vibre, vibre et partout vibre
Ses blogs
Articles :
41
Depuis :
05/07/2007
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
À vol d'oiseau À vol d'oiseau tout semble à mes naseaux si minuscule Butte difforme où les cailles sans haut-de-forme s'encanaillent J'en suis ! ! ! ! de ceux rêvant en eaux-fortes à survoler les pleines pensées à dos d'oies sauvages Tendre et tête de bois je m'entête dans l'indiscipline de mes désirs de spleen Et de nuages en nuages je
Captain Kaomoji-épisode 1- d'un poètami hurleur bourré de tics
(Ø_^) : Ach, parés à plonger moussaillons ? ╚囧╝ ╔囧╝ ╔囧╗ ╚囧╗ : Oui capitaine ! ... ... <°)))>< ... ... ... <°)))>< <°)))>< <°)))>< ... ... ... (ノ^_^)ノ : Oh les jolis poissons ! ... <°)))>< <°)))>< ... ... (´~`) : Moi j'ai le mal de mer. ... <°)))>< ... ... <°)))>< <°)))>< <°)))>< <°)))>< <°)))>< <°)))><
Fumées Evanescentes Allumées En descentes Eternelles Depuis La margelle Du puits Où se perd Le Repère longiligne De leur ligne Autoritaire Dont l'idéal serait pour toujours de me taire.
Adieu ─────── Ah, tes rêves espèrent ne plus le prononcer. Car mes yeux ne l’ont jamais aperçu. Se quitter sans cela ─ ce mot-là ─ M’acquitter de toutes sortes de divinités. Peu importe : au revoir à bientôt à tantôt. Mieux qu’Adieu : à tes yeux…
Allons enfants de la literie Le jour de gloire-oisiveté Contre nous de la machinerie L’étendard du temps est daté Entendez-vous dans la besogne Mugir ces féroces patronats Ils viennent jusque dans nos bras Nous virer en nous serrant la pogne Aux mat’las citoyens Formez vos édredons Dormons, dormons Qu’un songe sûr Abreuve vos raisons
Muet Derrière l'image se cache La caméra Que l'on imagine débarrassée Du savoir lâche D'un conserve-tout-sans-rien-dire Devant la caméra apparaît L'image aux multiples traduire Objectifs sans desseins Provoquant dans le sang l'arrêt Sur les mages Ensorcellement des mains Aux gestes mimés du visage Comédie du non-dit Boostez le corps qui t
Cinématière L'image s'écarte décentrée Elle flotte sur la fleur de ma peau, en eaux-fortes sous-titrées. De Babel Je ne Suis déjà plus que les pleurs identiques à Tout. Expulsé de ma gorge le cri Coupe la pellicule En flashbacks ─ regard intérieur révulsés ─ Où l'écrit perd la ligne en monticules D'ossements. Cinématière où le
Broderies … aux biens armés. L’eau naviguait sur le sol enjoué par nos pas Si souhaités sont les mots bafoués par lambda Un lent oui provenant de Russie expulse dès lors De ma voix ces inepties que masque mal l’or de mon souffle ouvert aux océans d’autres terres D’autres mers et cieux sans malentendus Sang mal étendu par nos plaisi
L'œillet De la lumière effeuillée Apparaît à mes yeux De langoureux œillets A jamais silencieux De la fleur aux pleurs Il n'y a que quelques pas Mais de celle-ci au bonheur Il faut partir de très bas.