Coup de blues habituel de la fin de l'automne, rien de grave, juste une rupture... le chant du cygne un sentiment de plénitude... je tangue. doux balancement, yeux fermés, je tangue. au loin, une mélodie languissante me berce au gré de ses notes planantes. de mes yeux clos je ne vois que ténèbres, mais une volatile ombre funèbre, ailée et o

. lui qui veut que les immigrés partent d'ici, ce beau pays qui l'avait pourtant accueilli, se prenant pour dieu, ce manipulateur, veut diriger notre pays, ô imposteur ! toi qui vient des pays de l'est, de la hongrie, tu sembles l'avoir bien oublié sarkozy ! ainsi tu as promis des emplois aux casseurs qu'ils attendent toujours avec impatience, m

. moment de plénitude ... j'entends mes propres pas. un bruit caverneux de caoutchouc neuf. mes nouvelles chaussures blanches feuille a4 vierge, foulent le trottoir longeant la route nationale dont j'ignore le nom exact. les oiseaux chantent, ce n'est pas normal. ou est passé le bourdonnement de fond monotone ? ces vagues de vrombissement, sonate

... accablé contre un mur aux pierres nues d’où geint de l’épaisseur un souffle froid, je suis dans la demeure de mon roi au château des fondations éperdues. blasé contre un mur au corps boursoufflé, qui se dresse si haut, jusqu’aux nuées, il pleure des araignées pétrifiées de sa chevelure en toile arachné. ci-gît une atmosphère

. eh oui, hier (09.08.09) fut un grand jour. j'ai fais la découverte des moules d'eau douce ! enfin wikipédia les a découverte avant moi apparament, mais je ne cache pas ma fierté d'en avoir déniché une à 1m80 de profondeur. d'une taille "pomme de main" et de couleur grise-marron, je lui demandai si elle était comestible. hélas, comme les

L'un de mes tout premier poème écris en février 2007. je deviens celui que je ne voulais pas être, le mépris solitaire, satan de mon espèce je ne fais confiance plus qu'à mon propre sceptre, celui qui dirige mon égo par ivresse. car j'ai cédé une partie de mon esprit, confession, à une amie digne de confiance, mais mon âme fut déserté

. soupirance, ô désir ! de toi nait tout espoir, cois sous les étoiles et enlacés au grand jour a l’orée d’un bosquet ou dans ma chambre au soir tu me suis, et partout, nous vivons cet amour. ta douce chevelure glisse entre mes doigts et ton exhalaison, suave et mordorée attise mes passions ; nos langues entrecroisées se choient entre de

Pour tonton, un ange en pays cathare il était double, en lui séjournaient deux personnes, l'une garante du malin, l'autre mandataire du bien. ce n'était lui... un doux requiem geignait, morne, en son cœur soumis par le diable, lui contant une douce fable. il n'était là, car il vivait son hérésie, quelque part en pays cathare, la ou satan l'

. "quand l'apocalypse arrivera, l'homme comprendra enfin qu'il ne pourra pas compter sur dieu" écrite en 2005 "femme aux seins qui tombent, bientôt dans la tombe !" écrite en 2007 "dieu c'est comme le père noël, il n'existe pas. d'ailleurs, seuls les enfants croient au père noël, alors il serait puéril de croire en dieu." écrite en 2008 .