Que m’as-tu donc fait, pour que mon coeur saigne ainsiQu’as-tu blessé en moi, pour cette hémorragieTu m’as engrossée de tes doux mots, et depuisMon esprit affamé, te réclame à grands crisJ’étais ta déesse, ta muse et ton égérie Tu étais à mes pieds, implorant ma poésieDe ta folle admiration, je me suis nourrieEt maintenant, seu

Cuisses écarquilléesOffrande...Amande Humide, ouverte...glisse la maintu veux bien?ou ta langueje quémande...

Ecarte-moiA l'ombre du bosquet Trouve la source suit la pentequi t'emmèneau puits de jouissance...

Vent du désir qui gonfle mes voiles... ouvre mon souffle... éveille mon ventre... Envol vers un océan de possibles... Heures encore vierges A mon horizon Les peindre de regards, de caresses d'odeurs et de soupirs de courbes indécentes... La vague m'emporte m'élargit Je ne suis plus que soif et eau vive... offrande... en partance...

Chère K. Tout d'abord, je tiens à vous présenter mes excuses de ne pas vous avoir répondu plus vite. J'ai été très occupé au bureau ces derniers temps. Je suis très heureux de savoir que vous appréciez le ton de mes messages. C'est donc que vous êtes non seulement une femme sensuelle, mais encore littéraire (vous me pardonnerez d'avoir

Ton membre plein, dur, fierdressé vers le cielm'appelleJe le regardele vénèreMes yeux le caresseCette douceur, ce veloursMon désir me mouilleMais je resteImmobile...Laisser gronder en moicette rage qui me mord de m'empiler sur toi...Non, je veux ton suplice et je veux le miendurer dans cette attentedans cette promesse du ciel... Je veux que tu

Il se déshabilleElle respire profondémentIls rient ensemble Le bas de son dosUn sourire qui se dessineIl est là près d’elle Elle le prend en boucheCe velours contre sa langueIl a joui d’un coup Hadès, dieu du netMarieM, déesse en peineQuête et Errance