c’est drôle qu’elle soit en l’air, tout le temps, parce qu’elle est en l’air dans mes souvenirs… ça plane au-dessus de ma tête, ce soir où tu arrives, ce soir où tu es là, ce soir là… c’est au dessus de ma tête… Peut-être n’est ce pas l’heure des mots doux… que tes yeux n’en ont plus le vœu… qu’en sais je ?
James Vargas
James Vargas
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Le blog des murs en chausson et sorbets aux legumes
Ici, il y a eu plein de mots à nous... et en attendant, il y a un silence
James Vargas
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29/12/2006
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Lifestyle
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gare de Perrache, 18h00 j'étais dans un train, je t'ai vu entrer dans un autre, direction Saint André le Gaz, de l'autre côté du quai je me suis dit "nous sommes donc appelés à nous revoir" je me suis dit aussi "ça ressemble à notre histoire, on s'est loupés de peu..." t'en penses quoi ?
bon, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de te le dire. ça y est, je ne t'aime plus ! oh bien sûr, ça fait longtemps sûrement... mais, la dernière fois que j'ai imaginé qu'on se revoyait par hasard, et bien, c'était... très sympa !! comme 2 vieux potes qui se retrouvent... voilà... le fameux sourire sur le passé est arrivé
ils disent que si j'écris rien ou que personne regarde ils vont mettre plein de pub... alors voilà c'est fait !
les jours sans toi je t’imagine… pas t’imaginer comme tu es – qui tu es, mais imaginer ce que tu fais, ce qu’il se passe pour toi, ce qui arrive autour de toi… les jours à soi, j’imagine –pourquoi ? une histoire de bain… parce que tu as parlé plusieurs fois de ces longues minutes dans l’eau… où tu lis, où tu fumes… ces l
si un jour, tu changes d'avis, si un jour tu veux me reparler... ben fais-le, j'ai écrit puis effacé les messages, j'espère que j'oserai laisser celui-là
t'es bientôt là... et c'est tout simplement !!!
et ils me remenacent de pubs... si tu viens lire j'écris... si j'écris tu viens lire ?
avec mon cœur sans yeux, sans main je marche sur la tête ! avec mon cœur sans ouie, sans bouche j’avance à l’envers ! Internet nous raconte des idioties… ! c’est vrai que ça a été un bon compagnon pour nous, et grâce à lui comment l’on a trompé les kilomètres ! comment l’on a déjoué le temps ! on s’offrait des moments à
certes c'est un journal très à gauche... mais j'adore et puis là comme ça parle de foot, c'est l'occasion de te faire connaître j'espère que ça roule pour toi bisous