«Avant, je croyais tout connaître de la vie, mais j’avais tout à apprendre. Avant, j’étais persuadée d’être forte, si forte que rien ne pouvait m’ébranler, mais j’étais vulnérable. Avant, j’estimais pouvoir ignorer mes sentiments, les nier pour éviter les blessures, mais je n’avais toujours pas aimé. Avant restera toujours

L’école secondaire : une véritable jungle où acné, poussée d’hormones et stéréotypes forment un mélange très spécial. Comment y rester nous-mêmes de la première à la dernière année ? Comment ne pas se laisser influencer par tous les stimulis, comme dirait mon professeur de communication, qui nous poussent à devenir comme toutes

Dans 16 jours, les familles vont se réunir autour d’un copieux repas : elles vont parler et rire tout en profitant du fait d’être réunis en ce 25 décembre 2010. Dans 16 jours, les familles vont chanter sur «Mon beau sapin», «Minuit chrétien» ou «Petit papa Noël» alors que d’autres vont aller à la messe pour voir les crèches viva

CRUCIALE : voilà ce que représente cette période qu’est l’adolescence. Généralement, les gens l’associent avec l’acné, les crises d’identité et la puberté. Pour d'autres, c’est une période de leur vie qu’ils aimeraient complètement oublier. Mais, pour moi, elle représente autre chose. Pour moi, c’est à cette période où

Réglons quelque chose d’important dès les débuts de ce blogue. Oui, j’aime être une adolescente. Oui, j’aime cette période de notre vie, contrairement à bien des gens. Mais, il y a quand même quelques petites choses que je déplore de cette période. En tête de liste, la façon dont la majorité d’entre nous s’exprime. Nous avons

Ah, la crise d’adolescence ! Ce que les parents appréhendent tous, car ils ont peur du calvaire que nous allons leur faire endurer. Et, la grande question : comment leur ado va-t-il la vivre? Parce que, bien sûr, on ne réagit pas tous de la même façon. J’ai lu un article, récemment, sur la crise d’adolescence dans lequel une psychanalys

J’ai un aveu à vous faire cher lecteurs : j’aime regarder les téléréalités. En fait, est-ce vraiment une confession ? Oui, on dirait que c’est un peu un tabou, dans le sens où on le cache pour essayer de se démarquer des autres (en tout cas, moi je le fais). Alors, je l’avoue : je ne suis pas différente des autres. Mais, c’est une